Letexte continue par une longue phrase complexe qui s’ouvre par une proposition subordonnĂ©e hypothĂ©tique. Olympe de Gouge imagine, que si les hommes continuent Ă  refuser Ă  l’émancipation des femmes, les femmes doivent s’unir pour combattre. Gouge utilise les outils rhĂ©toriques de la rĂ©pĂ©tition. En effet, le reste de la phrase est
Soumission hommes et femmes dans la Bible1Ăšre questionAprĂšs voir pris connaissance de l'enseignement sur Le rĂŽle de l'homme et de la femme dans le couple», j'aurais besoin d'Ă©claircissements quant Ă  certains Ă©lĂ©ments plutĂŽt passages cf. Credo chapitre 6, 6-3-1 Le mariage et le cĂ©libat parlent de soumission mais les contextes sont diffĂ©rents Ă©poux/hommes en gĂ©nĂ©ral; Ă  qui doit se soumettre la femme», Ă  son mari ou aux hommes en gĂ©nĂ©ral ? Le thĂšme parle du rĂŽle dans le couple» mais il semble que certains de ces passages parlent des relations entre hommes et femmes et non Ă©pouse/ m'Ă©clairer et Ă©ventuellement me donner des exemples pratiques ? Comment cette soumission s'articule-t-elle par des exemples pratiques ? Merci !RĂ©ponseLe cadre de la soumission est le couple. Les femmes en gĂ©nĂ©ral n'ont pas Ă  ĂȘtre soumises aux hommes en gĂ©nĂ©ral, mais seulement l'Ă©pouse Ă  son mari. La difficultĂ© vient de nos traductions qui traduisent femme» par deux termes diffĂ©rents, soit le mot Ă©pouse» soit le mot femme» qui Ă©voque toutes les personnes de sexe fĂ©minin. L'autoritĂ© ne s'applique que du mari sur son Ă©pouse. Comme le dit l'enseignement du manuel "Credo", et en s'appuyant, par exemple, sur Ga 3,28, les deux, maris et femmes sont Ă©gaux en valeur et en dignitĂ© devant de la soumission dans le couple entre Ă©poux & Ă©pouseUn texte clair recommande la soumission de la femme Ă  son mari EphĂ©siens voir aussi 1 P Cette soumission doit ĂȘtre une attitude volontaire, et non une façade. La soumission de la femme doit ĂȘtre volontaire et non contrainte et forcĂ©e, en traĂźnant les pieds». Il ne s'agit pas non plus d'une soumission dĂ©gradante en ne prenant pas part Ă  la vie et sans discussion. Il s'agit d'un acte volontaire, d'un engagement, d'un partenariat. L'Ă©pouse dĂ©sire vivre cette soumission, d'abord parce que l'Ă©pouse aime le Seigneur et par Ă©gard envers celui qui est son Dieu, son Seigneur, son implique que l'Ă©pouse ne va pas chercher Ă  revendiquer ce rĂŽle Ă  la tĂȘte de la famille. Elle ne va pas non plus saboter toutes les dĂ©cisions. Elle accepte les dĂ©cisions de son mari et le soutient en toutes circonstances, il en a besoin. C'est lui qui doit assumer toute la responsabilitĂ© en tant que chef... et de l'aide est la bien des hommes n'assument pas leur position de chef et les responsabilitĂ©s qui vont avec, il peut aussi arriver que des femmes soient excessivement critiques ou querelleuses, sapant ainsi la relation telle que Dieu l'a soumission non seulement dans les faits, mais aussi dans les pensĂ©es pas de mĂ©pris, une chasse constante contre toutes les pensĂ©es qui pourraient ĂȘtre dĂ©gradantes pour son conjoint idem pour les hommes d'ailleurs.Il y a aussi le danger de la manipulation. Les femmes sont, souvent, pas toujours, mais bien souvent quand mĂȘme, plus subtiles que les hommes. Il en va de leur responsabilitĂ© de ne pas utiliser cette subtilitĂ© pour manƓuvrer leurs maris pour qu'ils fassent ce qu'elles attendent de lui. Le mari doit assumer l'autoritĂ© qui lui est donnĂ©e.Tout en dĂ©lĂ©guant de nombreuses tĂąches et responsabilitĂ©s aux membres de sa famille de façon Ă  mettre en valeur les compĂ©tences et capacitĂ©s de chacun, et en laissant en particulier Ă  son Ă©pouse une grande libertĂ© d'initiative, le mari et pĂšre de famille garde l'oeil sur la marche gĂ©nĂ©rale de son foyer de maniĂšre Ă  s'assurer que les choses se passent comme elles doivent et que les dĂ©cisions ou les mesures nĂ©cessaires Ă  la bonne marche du foyer et au bien-ĂȘtre de chacun de ses membres soient prises. Quelle que soit la maniĂšre d'arriver aux dĂ©cisions dans le couple, quelle que soit l'implication – qu'on peut souhaiter maximale – de l'Ă©pouse dans le processus de dĂ©cision, quelle que soit la part de dĂ©lĂ©gation confiĂ©e Ă  l'Ă©pouse dans ce domaine, c'est lui qui en porte la responsabilitĂ© premiĂšre et c'est Ă  lui qu'il appartient de trancher tout en tenant compte du point de vue de son Ă©pouse et de ses enfants lorsque la discussion ne permet pas de dĂ©boucher sur un accord.» Texte de Sylvain Romerowski, La Revue RĂ©formĂ©e», n° 240.L'homme et la femme sont donc des partenaires, avec discussion, Ă©changes, mais si un dĂ©saccord subsiste, il est nĂ©cessaire qu'une personne puisse trancher, notamment lorsqu'il n'est plus possible de diffĂ©rer la dĂ©cision. C'est le rĂŽle du mari, qui doit prendre ses responsabilitĂ©s et assumer ses de l'homme dans le coupleSi Dieu demande Ă  la femme de se soumettre, il ne demande pas Ă  l'homme de dominer. Il demande d'aimer. Et aimer jusqu'au sacrifice, comme Christ a aimĂ© l'Eglise Ep romantique, l'amour liĂ© aux sentiments est une bonne et belle chose qui a toute sa place dans le mariage. La complicitĂ©, l'amitiĂ© dans le mariage sont des ingrĂ©dients beaux, utiles, forts mĂȘme. Ils font partie de la relation. Mais ce n'est pas suffisant. Il y a aussi l'amour qui se l'exemple de JĂ©sus Jn l'autoritĂ© est une autoritĂ© pour servir, pour le service des personnes sur qui l'autoritĂ© s'exerce. Le mari doit donc prendre les dĂ©cisions qui s'imposent non pas pour son propre bien, son propre intĂ©rĂȘt, mais pour le bien de son Ă©pouse et de toute sa famille le cas Ă©chĂ©ant. Il a besoin de toute l'aide de toute la sagesse divine pour mener Ă  bien cette tĂąche de l'homme et de la femme ?Un petit commentaire sur la complĂ©mentaritĂ© homme femme et le texte de GenĂšse parle souvent de complĂ©mentaritĂ© entre l'homme et la femme... enfin surtout la femme qui est complĂ©mentaire de son mari, considĂ©rĂ© comme la personne la plus importante du le rĂ©cit de la crĂ©ation, la complĂ©mentaritĂ© est absente. S'il n'est pas bon que l'homme soit seul, si la femme est tirĂ©e de l'homme, il n'est jamais dit que l'homme et la femme sont Platon qui a dit que les humains Ă©taient au dĂ©part mĂąle et femelle et que les dieux les auraient coupĂ©s en deux pour les affaiblir. D'oĂč cette recherche de sa moitiĂ© pour de nouveau vivre une certaine plĂ©nitude. Rien de biblique rien de vrai non plus!Si l'homme et la femme sont créés l'un pour l'autre, mais ils sont chacun des personnes Ă  part entiĂšre, pas besoin du mariage pour ĂȘtre une personne accomplie, mĂȘme si le mariage est une belle chose. Une personne cĂ©libataire n'est pas incomplĂšte mais elle a toute sa valeur en elle-mĂȘme... ceci dit sans minimiser les souffrances que cet Ă©tat occasionne rencontre de l'homme et de la femme n'est pas la rĂ©union de deux personnes complĂ©mentaires, mais de 2 personnes Ă  part entiĂšre qui doivent s'accepter l'une l'autre en faisant l'expĂ©rience de leur texte de GenĂšse 2 oĂč Adam reconnaĂźt Eve met surtout l'accent sur la similitude aprĂšs avoir nommĂ© tous les animaux, aprĂšs avoir vu toute la crĂ©ation, il dĂ©couvre cette femme qui lui est la femme est soumise Ă  son mari, elle lui est semblable dans l'humanitĂ©, la dignitĂ©, la valeur... cela va de soi pour nous, mais il est intĂ©ressant de pouvoir le mentionner dans notre maniĂšre de prĂ©senter la foi et notre maniĂšre de questionJ'apprĂ©cie que vous me fournissiez une rĂ©ponse prĂ©cise Ă  un sujet aussi complexe mais surtout je prends votre premiĂšre affirmation Les femmes en gĂ©nĂ©ral n'ont pas Ă  ĂȘtre soumises aux hommes en gĂ©nĂ©ral» et que je lis dans la Parole en CorinthiensJe veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ ... l'homme n'a pas Ă©tĂ© tirĂ© de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l'homme et l'homme n'a pas Ă©tĂ© créé Ă  cause de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l'homme... C'est pourquoi la femme, Ă  cause des anges, doit avoir sur la tĂȘte une marque de l'autoritĂ© dont elle dĂ©pend» 1 Cor 8-10, ainsi que Que la femme Ă©coute l'instruction en silence, avec une entiĂšre soumission. Je ne permets pas Ă  la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autoritĂ© sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a Ă©tĂ© formĂ© le premier, Eve ensuite» 1 Tim n'est-il pas en train de dire que "les femmes en gĂ©nĂ©ral" doivent ĂȘtre soumises "aux hommes en gĂ©nĂ©ral" ? Le terme homme» dans ce texte ne rĂ©fĂšre-t-il pas Ă  la race humaine mĂąle ? Utilisant le concept d'Adam et de Ève comme base de son instruction, les femmes ne doivent-elles pas ĂȘtre soumis Ă  tout homme?Merci de m'Ă©clairer, je vous avoue que tout cela est discordant, Ă  premiĂšre quelques Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse Ă  propos de textes reconnus difficiles par la majoritĂ© des spĂ©cialistes. Je ne prĂ©tends pas tout expliquer, mais je donne quelques idĂ©es, sachant que certains points demeurent texte de Galates donne une premiĂšre base pour montrer l'abolition de toute distinction de valeur devant texte de 1 Corinthiens 11 est dĂ©licat. Les versets 3-5 Ă©voquent toute femme» mais son chef» ou sa tĂȘte» selon les traductions. Si on ajoute le parallĂšle avec EphĂ©siens 5 relations mari et femmes, on voit qu'il s'agit sans doute des relations entre une femme et son mari. Cela correspond d'ailleurs bien aux conventions de l'Ă©poque la tenue vestimentaire de la femme reflĂ©tait le statut social de son mari et ĂȘtre tĂȘte nue exposait une femme aux avances masculine, d'oĂč le dĂ©shonneur pour le mari et non pour tous les hommes.Aux versets 8 et 9 Eve a Ă©tĂ© tirĂ©e de son mari, le texte montre d'ailleurs bien qu'il s'agit d'un cas particulier entre Adam et Eve dont Paul se sert pour gĂ©nĂ©raliser aux relations dans le verset 10 est, d'aprĂšs plusieurs commentateurs et spĂ©cialistes du Nouveau Testament, mal traduit. On ne trouve pas dans le grec dont elle dĂ©pend ». On retrouve 2 maniĂšres de comprendre ce verset- Soit la femme a un signe sur la tĂȘte montrant son autoritĂ© pour prophĂ©tiser elle exerce une autoritĂ©.- Soit la femme doit avoir sur la tĂȘte une marque de l'autoritĂ© qui est sur elle, c'est-Ă -dire, selon les autres textes du Nouveau Testament, son mari, et non pas les hommes en texte de 1 TimothĂ©e continue de faire couler beaucoup d'encre. Paul ne permet pas Ă  la femme d'enseigner en prenant autoritĂ© sur l'homme la prise d'autoritĂ© est liĂ©e Ă  l'enseignement, ce n'est pas un cas gĂ©nĂ©ral. Il Ă©voque ici un cas gĂ©nĂ©ral dans l'Eglise en maintenant une claire distinction des sexes, Ă©lĂ©ment normatif Ă  Ă  un texte aussi discutĂ©, je ne peux que donner quelques Ă©lĂ©ments. Paul interdisait Ă  l'Ă©poque un enseignement qui impliquait une prise d'autoritĂ© tout en permettant Ă  la femme de prier, prophĂ©tiser et ĂȘtre diacre dans l'Eglise. Il donne des directives pour organiser le culte, il y a donc une limitation dans la portĂ©e de son commandement, il ne s'applique pas hors du cadre du Le principe gĂ©nĂ©ral est la soumission de la femme Ă  son mari avec le cadre donnĂ© dans ma rĂ©ponse prĂ©cĂ©dente, l'autoritĂ© Ă©tant liĂ©e au service... un service prĂȘt Ă  se sacrifier, Ă  l'image de Christ. Paul a clairement demandĂ© que les femmes, en gĂ©nĂ©ral, ne prennent pas autoritĂ© sur les hommes dans le culte, en tout cas dans le domaine de l'enseignement. On remarque d'ailleurs que les responsables des Eglises ont longtemps Ă©tĂ© exclusivement des hommes et que c'est encore le cas dans de nombreuses Eglises, comme rĂ©action Ă  cet questionDans vos courriels, vous insistez sur la valeur Ă©gale des hommes et des femmes. Je veux que vous sachiez d'entrĂ©e de jeu que je n'ai jamais mis en cause la valeur» devant Dieu de la gente fĂ©minine; créée Ă  l'image de notre Dieu, elle est une crĂ©ature de ce mĂȘme Dieu mĂȘme si cela semble, selon la GenĂšse, s'ĂȘtre produit dans un deuxiĂšme temps. C'est sur la question du rĂŽle que se situe la difficultĂ© et comme vous le dites certains points demeurent obscurs» dans l' mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tabli un point de vue dĂ©favorable ou, disons, diffĂ©rent du rĂŽle de la femme, cela demeure difficile Ă  saisir. Ne serait-ce le fait que dans l'Ă©pĂźtre aux Corinthiens, Paul dit en mĂȘme temps que les femmes se taisent dans les assemblĂ©es, car il ne leur est pas permis d'y parler», brandissant mĂȘme la loi au fait, oĂč se trouve cette loi dans le Pentateuque ?; et Ă  la fois il leur recommande que lorsqu'elle prie et prophĂ©tise» prophĂ©tiser annoncer les oracles de Dieu Ă  l'assemblĂ©e, elle soit voilĂ©e...Priscille que l'on retrouve aux cĂŽtĂ©s de Paul et dont il est dit, qu'elle et son mari ont pris Ă  part Apollos homme trĂšs instruit nous dit le texte pour l'instruire plus exactement dans les voies de Dieu. Elle devait avoir une autoritĂ© pour enseigner ?De toute Ă©vidence, Paul ne fait aucune obstruction Ă  ses activitĂ©s d'enseignements, non ?Avez-vous des pistes de rĂ©flexion sur ces derniers points ?RĂ©ponseLes textes que vous Ă©voquez sont particuliĂšrement sensibles et difficiles, mĂȘme pour les spĂ©cialistes du Nouveau j'ai bien compris les textes, Paul souligne Ă  la fois une Ă©galitĂ© de valeur entre l'homme et la femme et une prééminence de l'homme Ă©voquĂ©e par exemple dans 1 Corinthiens dans 2 cas Il s'agit du mariage oĂč les deux Ă©poux ne forment plus qu'un» Gn mais oĂč l'homme garde une autoritĂ© liĂ©e Ă  un service et une responsabilitĂ© plus grande, tout en sachant que la femme doit se soumettre et l'homme doit non dominer, mais aimer sa femme, comme rappelĂ© en EphĂ©siens 5. On remarque aussi que dans le couple, chacun a autorité» sur le corps de l'autre 1 Co Le second cas est celui de l'Eglise qui se rassemble. Tout en autorisant et encourageant la femme Ă  exercer ses dons, Paul demande que dans le cadre de l'Eglise, les femmes en gĂ©nĂ©ral ne prennent pas autoritĂ© sur les hommes en gĂ©nĂ©ral et sur l'assemblĂ©e entiĂšre. Pour reprendre les exemples que vous citez, il est vrai que Priscille a enseignĂ©, avec son mari Ac ce qui montre au moins un ministĂšre dans le cadre du Ă©voque aussi les femmes qui prient, qui prophĂ©tisent 1 Co La dĂ©finition de la prophĂ©tie est donnĂ©e plus loin 1 Co avec une exhortation qui correspond Ă  l'application de vĂ©ritĂ©s bibliques dans la vie du croyant. En ce sens, cette prophĂ©tie n'est pas revĂȘtue d'une autoritĂ© normative. Ce sont plutĂŽt des paroles d'encouragement qui aident Ă  rendre concrĂštes les vĂ©ritĂ©s abstraites de la doctrine reste les demandes difficiles de 2 textes 1 Corinthiens et 1 TimothĂ©e Avant cela, je note pour la question du voile 1 Co 11,1-15 que le mot voile» n'apparaĂźt qu'une seule fois dans ce passage, au verset 15. Pour le reste, on parle de la tĂȘte couverte» ou non couverte», mais pas de voile et au verset 15, ce sont les cheveux qui servent de voile. Le sens gĂ©nĂ©ral du texte est de respecter l'ordre crĂ©ationnel. Les hommes sont des hommes et les femmes restent des femmes; il ne serait pas juste d'abolir toute diffĂ©rentiation Ă  la loi 1 Co n'est pas claire. Certains voient une loi civile; pour d'autres, Paul dit la loi» pour Ă©voquer l'ensemble du Pentateuque. Dans ce cas, la loi Ă©voquerait le principe de subordination de la femme créée pour l'homme voir son argumentation en 1 Co le texte de 1 TimothĂ©e les spĂ©cialistes sont d'accord pour souligner que le contexte est celui des rencontres d'Eglise, lorsque l'Eglise est rassemblĂ©e. Le sens de ce passage dĂ©pend de l'interprĂ©tation du terme rendu par enseigner» au verset 12, que certains traduisent enseigner en prenant autorité». De quel enseignement s'agit-il ? Les avis sont rĂŽle de la femme dans l'EglisePour faire court, voici 4 maniĂšres de comprendre le texte. Certains dĂ©fendent tout enseignement, et toute prise de parole de la femme, ce qui pose problĂšme avec la priĂšre publique et la prophĂ©tie pourtant autorisĂ©e ailleurs. D'autres considĂšrent que le ministĂšre d'enseignement avec autoritĂ© n'Ă©tait valable qu'Ă  une Ă©poque oĂč le Nouveau testament n'existait pas. L'ordre de Paul vise donc des femmes qui pourraient prendre autoritĂ© par leur enseignement puisqu'il n'y avait pas encore de canon de l'Ecriture formĂ©. D'autres affirment que cet ordre se limite Ă  EphĂšse et qu'il est purement contextuel. Cela ne me paraĂźt pas faire justice au texte qui est d'ordre gĂ©nĂ©ral. On peut aussi voir une interdiction pour la femme d'exercer un enseignement revĂȘtu d'autoritĂ©, c'est-Ă -dire un ministĂšre d'enseignant principal, de docteur de l'Eglise. Pour le texte de 1 Corinthiens je laisse tomber les interprĂ©tations qui voient ce texte comme un ajout ultĂ©rieur ou celles qui restreignent son application. Il ne s'agit, semble-t-il, pas non plus de bavardage. La maniĂšre de comprendre la plus probante Ă  mes yeux mais d'autres avis existe et je me prĂ©tends pas avoir la vĂ©ritĂ© sur ce texte comme sur le prĂ©cĂ©dent est de considĂ©rer le passage dans son ensemble, commençant au verset versets 33-35, Paul Ă©voque les prophĂ©ties et notamment leur Ă©valuation, puisque les prophĂ©ties du Nouveau Testament ne sont pas infaillibles et doivent ĂȘtre Ă©valuĂ©es voir verset 29. La traduction de la Bible du Semeur» favorise d'ailleurs cette interprĂ©tation, mĂȘme si cela reste une peut alors comprendre que les femmes ne peuvent exercer un ministĂšre d'autoritĂ© en Ă©valuant les prophĂ©ties, et par extension, les exhortations, tĂ©moignages, encouragements donnĂ©s en application de l'enseignement je rĂ©sume ce que ces 2 textes soulignent, j'arrive Ă  3 conclusions personnelles La femme peut prendre la parole dans l'Eglise pour apporter un encouragement, une exhortation Ă  l'application de l'Ecriture, ce que nous appelons un tĂ©moignage. Il ne lui est pas permis d'ĂȘtre docteur de l'Eglise», c'est-Ă -dire rĂ©fĂ©rence ultime en matiĂšre d'enseignement, de doctrine. Certains diront que de toute façon, tout enseignant reste soumis Ă  l'Ecriture, ce qui est vrai pour l'homme comme pour la femme. D'autres objecteront que les anciens exercent une autoritĂ© et refuseront cette fonction pour les femmes par l'autoritĂ© qu'elles prennent sur les hommes dans le cadre de l'Eglise. On note que ce sont les anciens qui sont responsables de l'enseignement et vont Ă©valuer les prophĂ©ties, les enseignements, les prises de parole publiques dans les Eglises. Paul restreint l'exercice de l'autoritĂ© de la femme sur l'Eglise, mais toutes les autres fonctions lui sont ouvertes. Il faut aussi prĂ©ciser que si la femme ne doit pas prendre autoritĂ© sur l'homme, cela ne signifie pas pour autant que tout homme a autoritĂ© sur toute femme. Le cĂŽtĂ© individuel ne s'applique pas ainsi. Les anciens collectivement, et non individuellement ont autoritĂ© sur toute l'Eglise autoritĂ© dĂ©lĂ©guĂ©e par Christ, autoritĂ© de service, mais autoritĂ© malgrĂ© tout et la femme est soumise Ă  son mari. Il n'y a pas d'autres principes qui enseigneraient une domination, une autoritĂ© des hommes sur les selon les chapitres 14 et 15 de l'Ă©pĂźtre aux Romains, nous devons veiller Ă  ne pas choquer par nos paroles et notre enseignement. Il est ainsi parfois prĂ©fĂ©rable que la femme limite certaines prises de parole si l'assemblĂ©e ne peut les livre peut vous aider, au moins dans les questions qu'il pose et par les pistes de recherche qu'il offre, mĂȘme si vous n'ĂȘtes pas obligĂ©s d'ĂȘtre d'accord avec les conclusions qu'il tire comme avec ce que j'ai partagĂ©, bien sĂ»r. Il s'agit de La femme dans l'Eglise», d'Alfred Charvin, pasteur
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L’homme, chef » de la femme ? par Jean-Pierre BORY Paul Ă©crit en 1 Co avec une certaine fermetĂ© et le rĂ©pĂšte presque mot Ă  mot en Ep Je veux que vous sachiez que de tout homme, la tĂȘte kephalĂš c’est Christ, la tĂȘte de la femme c’est l’homme, la tĂȘte de Christ c’est Dieu ». Le triple usage de ce mot kephalĂš dans trois expressions parallĂšles d’une mĂȘme phrase oblige Ă  lui donner un sens proche, voire identique dans chaque cas. Certains auteurs ont voulu attĂ©nuer ce qui apparaĂźt ici comme une suprĂ©matie masculine sur la femme ; ils y ont vu une influence culturelle qui aurait marquĂ© la conception de l’auteur ; ils rapprochent le dĂ©but du v. 3 du v. 8 de 1 Co 11 en relevant qu’Adam est plutĂŽt la source » de la femme créée aprĂšs l’homme, et Ă  partir d’une cĂŽte de l’homme selon Gn Cependant, il est difficile d’enlever au mot kephalĂš un sens de primautĂ©, de prééminence dans les deux expressions suivantes de 1 Co l’homme n’est pas l’égal de Christ, fut-il croyant et enfant de Dieu ; et le Christ reconnaĂźt la prééminence du PĂšre par rapport Ă  lui-mĂȘme en tant que personne, mĂȘme s’il y a identitĂ© d’essence entre le PĂšre et le Fils Tu m’as envoyĂ© » Jn JĂ©sus a appris l’obĂ©issance bien qu’il fĂ»t Fils » HĂ© Dans ce dernier verset on a pensĂ© que ce n’était que dans sa nature humaine que JĂ©sus avait souffert et s’était soumis ; toutefois d’autres textes suggĂšrent que ce respect du Fils par rapport Ă  la volontĂ© du PĂšre prĂ©cĂšde de loin le temps de l’incarnation Jn ; ; ; Ep ; Dieu est celui qui a conçu le dessein du salut par l’envoi du Fils. Par ailleurs, dans le Nouveau Testament, le mot kephalĂš n’a jamais le sens de source hormis son emploi en 1 Co on le trouve dans 74 autres textes 58 fois avec le sens de tĂȘte, 11 fois de façon imagĂ©e il dĂ©signe le chef de l’armĂ©e, la tĂȘte de l’armĂ©e, et 5 fois encore il signale qu’une chose est principale par exemple en Luc la pierre principale de l’angle ». Il serait surprenant que kephalĂš ait une seule fois le sens de source dans 1 Co sans idĂ©e de primautĂ©, de prééminence. Comment comprendre alors cette primautĂ© de l’homme sur la femme ? La Bible met en Ă©vidence que les trois personnes de la trinitĂ© se prĂ©sentent dans un ordre », et non sur le mĂȘme rang. Nous voyons le PĂšre prendre des initiatives avant la fondation du monde » Ep Le PĂšre et Le Fils sont associĂ©s dans l’envoi du Saint-Esprit Jn Et mĂȘme dans la gloire retrouvĂ©e, le Fils lui-mĂȘme se placera sous l’autoritĂ© de celui qui lui a tout soumis » 1 Co On ne peut que reconnaĂźtre un ordre dans la trinitĂ© le PĂšre, puis le Fils, puis le Saint-Esprit, tout en affirmant la pleine Ă©galitĂ© de ces trois personnes, en essence, en puissance, en divinitĂ©, en gloire le Fils et le PĂšre sont unis intrinsĂšquement le PĂšre est en moi et je suis dans le PĂšre Jn ; tout ce que le PĂšre a est Ă  moi Jn La trinitĂ© reste un mystĂšre pour nous Ă  nos yeux, prééminence du PĂšre et unitĂ© d’essence du PĂšre et du Fils semblent faire paradoxe, pourtant les textes bibliques affirment ces deux vĂ©ritĂ©s. L’analogie faite par l’apĂŽtre Paul Ă  plusieurs reprises entre la relation qui existe Ă  l’intĂ©rieur du couple humain avec celle qui l’est dans la trinitĂ©, aide Ă  saisir les nuances difficiles Ă  exprimer dans nos mots lorsque nous voulons dĂ©crire cette relation Paul affirme dans le couple homme-femme comme dans la trinitĂ© une unitĂ© de nature, une Ă©galitĂ© de valeur et un ordre des personnes. C’est Ă  l’homme de prendre certaines initiatives en tant que tĂȘte» du couple, mais il se doit aussi d’imiter le Christ, tĂȘte de l’Eglise » qui a aimĂ© l’Eglise et a donnĂ© sa vie pour elle, qui s’est fait serviteur lui-mĂȘme des disciples dont il Ă©tait le maĂźtre, invitant les disciples Ă  l’imiter. Devant Dieu, homme et femme sont Ă©galement objets de son amour, ont Ă©galement accĂšs au salut et Ă  sa communion Ga cependant Dieu confĂšre Ă  l’homme des responsabilitĂ©s et une mission particuliĂšre vis-Ă -vis de son Ă©pouse, responsabilitĂ©s qu’il ne peut toutefois accomplir en dominant mais en aimant et en servant. Lejournaliste spĂ©cialisĂ©e dans les affaires criminelles Christophe Hondelatte demande Ă  son invitĂ©e s'il est possible de tourner la page L’un des paradigmes majeurs des doctrines Ă©vangĂ©liques en ce qui concerne le couple est celui de la soumission de l’épouse et l’autoritĂ© de l’époux ». La plupart des commentaires prennent appui sur des textes comme ÉphĂ©siens 5 22-23 pour fonder leurs enseignements. J’affirme ici haut et fort deux choses PremiĂšrement j’affirme que cette interprĂ©tation des textes n’est pas biblique’DeuxiĂšmement, j’affirme qu’elle aboutit Ă  une forme de violence systĂ©matique envers les femmes, pouvant aboutir Ă  la violence physique. A l’heure des metoo et balance ton porc, Ă  l’heure de la lutte acharnĂ©e contre les violences faites aux femmes, il est temps de lire le texte pour lui-mĂȘme et de refuser de plaquer sur lui des choses qui n’y sont pas et qui n’y ont mĂȘme jamais Ă©tĂ©! 1. Ce paradigme n’est pas biblique’ ! Pourquoi ? a. Parce qu’il y a un problĂšme structurel dans la construction de cette interprĂ©tation Cette interprĂ©tation se construit sur deux termes tirĂ©s du passage qui concerne les femmes soumission de l’épouse parce que l’homme est la tĂȘte qu’elle utilise pour caractĂ©riser l’ensemble du couple. Or, puisque le couple est composĂ© de deux entitĂ©s, hommes et femmes, il conviendrait de regarder Ă  ce qui est dit aux deux avant de dĂ©finir les caractĂ©ristiques conjugales ! Oublier’ d’introduire dans la caractĂ©risation du couple ce qui est demandĂ© Ă  l’homme et qui vient de la partie du texte qui lui est proprement consacrĂ©e revient Ă  exercer une torsion qui est de l’ordre de la manipulation. C’est d’autant plus manipulatoire que ce qui est demandĂ© au conjoint masculin n’a rien Ă  voir avec l’autoritĂ©. L’apĂŽtre Paul demande en effet Ă  l’homme de livrer sa vie’ par amour pour son Ă©pouse, les versets 25 Ă  33 du mĂȘme chapitre 5 autrement dit, de mettre de cĂŽtĂ© tous ses soi-disant privilĂšges pour Ă©lever’ son Ă©pouse, tout comme le Christ l’a fait pour le salut et la sanctification de l’humanitĂ©. b. Il y a des problĂšmes liĂ©s Ă  l’interprĂ©tation des termes Cette interprĂ©tation associe le terme kĂ©phalĂ© utilisĂ© pour qualifier l’homme dans le passage qui s’adresse aux femmes Ă  l’autoritĂ© alors que le texte ne le fait jamais! Bien au contraire, Ă  chaque fois que les Écritures utilisent le terme kĂ©phalĂ©, qui signifie littĂ©ralement tĂȘte et non chef le contexte, c’est Ă  dire les versets suivants ou qui prĂ©cĂšdent mentionnent le sacrifice, et ce, qu’il s’agisse du Christ ou des hommes. L’élĂ©ment dĂ©terminant pour comprendre la signification du passage n’a donc rien Ă  voir avec l’autoritĂ© exousia qui n’est d’ailleurs mĂȘme pas mentionnĂ©e dans le texte. Les Ă©vangiles synoptiques nous informent clairement ce que cela signifie d’ĂȘtre chef’ ou premier’ Ă  la suite du Christ. En Marc 10 43, Luc 22 26 et Matthieu 20 26, JĂ©sus dit Vous savez que les chefs des nations les tyrannisent, et que les grands les asservissent. Il n’en sera pas de mĂȘme au milieu de vous. Mais quiconque veut ĂȘtre grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur; et quiconque veut ĂȘtre le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave. Les textes utilisent le terme archĂ© ou basileis en Luc pour signifier clairement la hiĂ©rarchie du cĂŽtĂ© de ce qu’il rejette et les termes diakonos et doulos pour signifier le sacrifice et le service du cĂŽtĂ© de ce qu’il souhaite voir advenir au milieu des disciples. Être chef-archĂ© Ă  la façon du monde n’a rien Ă  voir avec le fait d’ĂȘtre chef-kĂ©phalĂ© Ă  la façon du Christ. Et c’est par un curieux retournement de situation que les tenants du traditionalisme Ă©vangĂ©lique et catholique attribuent Ă  l’homme mariĂ© le rĂŽle de l’autoritĂ© et de la direction des Ă©pouses, alors que l’Évangile rapporte ici que l’homme qui veut ĂȘtre grand, autrement dit un chef, doit devenir comme un serviteur, c’est-Ă -dire un ĂȘtre qui n’a aucune autoritĂ© ni pouvoir! c. Il y a donc une double trahison du texte biblique dans le paradigme soumission/autorité’ L’oubli de la responsabilitĂ© que Dieu adresse aux hommes dans le couple au profit du rĂŽle de direction et d’ transformation du sens de tĂȘte/chef en personne qui dirige et ordonne’. Alors que JĂ©sus redĂ©finit clairement la maniĂšre dont les choses doivent fonctionner au milieu de vous’ les croyants. Celui qui est fort doit accepter un abaissement volontaire jusqu’à devenir un serviteur. 2. Quel est alors le paradigme vĂ©ritablement biblique ? a. A l’épouse, il est demandĂ© deux choses la soumission et le respect envers celui qu’elle est invitĂ©e Ă  considĂ©rer comme sa tĂȘte. Paul exprime ici l’unitĂ© de nature entre l’homme et la femme dans le couple il est sa tĂȘte, elle est son corps ! Est-ce que cela signifie qu’il a tout pouvoir et autoritĂ© comme les chefs des nations ? Qu’il commande Ă  sa femme comme on commande Ă  son pied d’avancer ? Bien sĂ»r que non. La femme a une tĂȘte qui lui appartient en propre et qui est autre que celle de son mari voir 1cor11 ; de mĂȘme que le mari a un corps propre et autre que celui de sa femme. Et chacun est Ă©galement invitĂ© Ă  les utiliser pour le royaume de Dieu. Parce qu’elle a une tĂȘte propre, il ne lui est pas demandĂ© de faire comme si elle n’en avait pas. Elle reste responsable de sa vie, de ses choix, de son salut, de sa relation avec Dieu, comme tout disciple l’est. Ce qui est demandĂ© Ă  l’épouse, c’est de comprendre et d’agir comme si elle en avait deux. Autrement dit de tenir compte des raisonnements de son autre tĂȘte et de se soumettre Ă  elle dans le respect. b. A l’époux, il est demandĂ© deux choses Ă©galement le sacrifice et l’amour envers celle qu’il est invitĂ© Ă  considĂ©rer comme son corps. Cela signifie-t-il qu’il n’a pas de corps ? Bien sĂ»r que non ! L’époux a un corps propre. Il ne lui est donc pas demandĂ© de faire comme s’il n’en avait qu’un, celui de l’épouse qui devient alors comme un prolongement de son propre corps et un outil de service bien utile. Paul demande ici aux Ă©poux de faire comme s’ils avaient deux corps, le leurs, dont ils savent prendre soin, et celui de leurs Ă©pouses. Autrement dit, de tenir compte des besoins de l’autre corps. Paul demande mĂȘme aux maris de placer les intĂ©rĂȘts de cet autre corps avant ceux du leur ! C’est l’image typologique de l’Ɠuvre du Christ envers l’église qui est Ă©galement utilisĂ©e pour signifier de quelle maniĂšre le mari doit aimer son Ă©pouse l’apĂŽtre Paul met en avant les notions de sacrifice, d’oubli de soi pour favoriser l’élĂ©vation de l’épouse, son accomplissement personnel. c. Un tableau rĂ©capitulatif de ce passage dĂ©montre le parallĂ©lisme entre les paroles adressĂ©es Ă  l’épouse et celles adressĂ©es Ă  l’époux Si les notions d’attitude et de comportement sont souvent considĂ©rĂ©es comme des synonymes, elles comportent Ă©galement des diffĂ©rences L’attitude est un Ă©tat intĂ©rieur qui prĂ©dispose Ă  rĂ©agir d’une certaine maniĂšre devant les circonstances. Cet Ă©tat est le fruit de la gĂ©nĂ©tique, de l’éducation mais aussi de la volontĂ© propre, des choix de l’individu. Le comportement quant Ă  lui, est l’action ou la rĂ©action observable d’un individu dans un environnement extĂ©rieur. 3. Une doctrine qui aboutit Ă  la violence ! Oublier la symĂ©trie des demandes que l’apĂŽtre Paul adresse aux membres du couple au profit d’un focus placĂ© uniquement sur le pĂŽle fĂ©minin, c’est agir comme les pharisiens ou les disciples de JĂ©sus qui considĂ©raient le mariage comme leur Ă©tant avantageux Ă  eux seuls! Ce que cela produit, c’est l’effacement de milliers, de millions d’ĂȘtres humains, sommĂ©s de vivre dans les traces de pas laissĂ©s par celui qui les prĂ©cĂšde, leur seigneur et maitre, leur Ă©poux
 Les femmes qui – encore en trop grand nombre- reçoivent ces injonctions de soumission comme Ă©tant de l’ordre de la volontĂ© de Dieu pour elles, vivent une lente dĂ©personnalisation qui relĂšve de la violence psychologique la plus simple. Le traumatisme psychologique vĂ©cu par ces femmes qui s’efforcent de bannir de leur cƓur toute initiative personnelle afin d’ĂȘtre soumises Ă  leurs maris comme au Seigneur’ est similaire Ă  celui vĂ©cu par des millions de fillettes chinoises Ă  qui on bandait les pieds pendant toute leur enfance pour qu’elles gardent un pied menu de fillette. MĂȘme dĂ©bandĂ©s, leurs pieds ne reprennent pas leur aspect normal
 Les cicatrices et dĂ©formations restent rĂ©elles
 Ce qui, au contraire, relĂšve du projet de Dieu pour la personne, et encore bien davantage pour le disciple du Christ, c’est la mise en Ɠuvre d’un potentiel personnel, d’un ou de plusieurs dons au service des autres, de la communautĂ©. Cet appel s’adresse Ă  tous, hommes et femmes. La mise sous tutelle’ des dons et talents que le Seigneur a confiĂ© aux Ă©pouses aboutit Ă  une perte tragique pour les communautĂ©s de foi. De plus, les Ă©pouses convaincues d’avoir reçu des appels et ne pouvant les vivre Ă  cause de maris opposĂ©s Ă  la libĂ©ration de leurs talents ou Ă  cause de communautĂ©s fermĂ©es quant Ă  la place des femmes, perdent une Ă©nergie considĂ©rable Ă  lutter contre l’amertume, la frustration. Bien sĂ»r, l’Esprit-Saint, l’Esprit de consolation est lĂ  et grĂące Ă  lui, de nombreux combats intĂ©rieurs sont gagnĂ©s ! Mais la perte reste double Moins de dons exprimĂ©s dans l’église et une Ă©nergie gaspillĂ©e parce qu’investie dans une lutte Ăąpre contre la souffrance intĂ©rieure de ne pouvoir servir selon ses dons
 Malheureusement, ce n’est pas encore tout
 Parce que La violence psychologique peut exister sĂ©parĂ©ment ou n’ĂȘtre qu’un prĂ©alable Ă  la violence physique.» Professeur M. Debout Chef du service de MĂ©decine LĂ©gale du CHU de Saint Etienne – RĂ©alitĂ©s n° 90 – Publication de l’UNAF – juin 2010. Et nous ne pouvons plus, nous ne devons plus agir comme si cela n’existait pas dans nos communautĂ©s protestantes et Ă©vangĂ©liques
 Quelques exemples Je me souviens d’une amie chrĂ©tienne dont le mari cocaĂŻnomane vivait dans la dĂ©bauche et faisait subir des humiliations terribles Ă  son Ă©pouse, allant un jour jusqu’à une tentative de meurtre. Je lui ai conseillĂ© la sĂ©paration, ses enfants l’ont suppliĂ©e de m’écouter. L’un des pasteurs de la communautĂ©, lui, a affirmĂ© que si son mari allait en enfer, ce serait sa faute Ă  elle
 Elle a alors repris la vie commune dans des difficultĂ©s terribles et la famille a payĂ© un prix Ă©levĂ© Ă  cette d’un sĂ©minaire ou j’enseignais sur le sujet, homme et femme dans l’Église et dans le couple’, une auditrice, femme battue et chrĂ©tienne, m’a confessĂ© que son mari la battait pour son bien et sa croissance’. Elle n’est pas arrivĂ©e Ă  accepter l’idĂ©e que cette situation n’était pas conforme au cƓur de Dieu, tant elle Ă©tait convaincue de l’importance premiĂšre de la soumission Ă  son conjoint. Elle pensait qu’un jour, elle comprendrait de quelle nature Ă©tait ce bien que son agresseur voyait en la battant et qu’elle ne voyait pas. Je n’ai malheureusement pas rĂ©ussi Ă  garder le lien avec elle
 Une autre encore Ă©tait obligĂ©e de rĂ©pondre aux sollicitations sexuelles permanentes et dĂ©gradantes d’un mari en proie Ă  des pulsions irrĂ©pressibles dĂšs qu’il vivait le plus petit stress. Lorsqu’elle a fini par oser affirmer son ras-le-bol et son dĂ©sir que cela s’arrĂȘte, en prononçant le mot ’divorce’, il est devenu fou de rage et a voulu en venir aux mains. J’ai dĂ» m’interposer entre eux
 Dans chacune de ces trois situations, les Ă©poux se disaient chrĂ©tiens, frĂ©quentaient assidĂ»ment les communautĂ©s et justifiaient’ leurs comportements par la doctrine soumission/autorité’. La violence physique Ă©tait justifiĂ©e par le fait que les Ă©pouses n’étant pas assez conformes aux dĂ©sirs exprimĂ©s par leurs Ă©poux, elles devaient ĂȘtre corrigĂ©es’
 La responsabilitĂ© de l’époux n’est-elle pas de tout faire pour que l’épouse apparaisse devant son Dieu sans tache ? La liste des abus pourrait ĂȘtre longue encore ! Je m’arrĂȘte lĂ . Il est temps que l’Église comprenne qu’il n’y a pas d’un cĂŽtĂ©, ceux qui commandent et dirigent, et de l’autre, celles qui se soumettent et obĂ©issent. Si le vĂ©ritable paradigme biblique est soumission et respect de l’épouse envers son mari ; Sacrifice et amour de l’époux envers sa femme », alors cela signifie qu’hommes et femmes sont invitĂ©s Ă  porter une croix identique dans la vie conjugale celle de considĂ©rer les besoins et dĂ©sirs de l’autre en premier et les siens propres en second seulement. Ce n’est qu’alors, qu’ il n’y a plus ni homme ni femme, mais une nouvelle rĂ©alitĂ© dans laquelle tout reste Ă  construire ensemble certes, Ă  la suite de celui qui a sacrifiĂ© sa vie par amour pour nous et qui est notre modĂšle premier Ă  tous, que nous soyons homme ou femme. JoĂ«lle Sutter-Razanajohary Non, l'homme n'est pas le chef de sa femme. Pour moi c'est sur : JE SUIS ET JE RESTERAI CHEF DE MOI MEME Concernant le rĂŽle de la femme dans la congrĂ©gation chrĂ©tienne, au Ier siĂšcle, les femmes ont grandement contribuĂ© Ă  la propagation du christianisme. Elles prĂȘchaient le Royaume de Dieu et soutenaient l’Ɠuvre de bien d’autres maniĂšres (Luc 8:1-3). Aujourd’hui, Versets ClĂ©s Les cheveux de Samson Juge 16 13 Delila dit Ă  Samson Jusqu’à prĂ©sent tu t’es jouĂ© de moi, tu m’as dit des mensonges. DĂ©clare-moi avec quoi il faut te lier. Il lui dit Tu n’as qu’à tisser les sept tresses de ma tĂȘte avec la chaĂźne du tissu. Juges 16 14 Et elle les fixa par la cheville. Puis elle lui dit Les Philistins sont sur toi, Samson! Et il se rĂ©veilla de son sommeil, et il arracha la cheville du tissu et le tissu. Juges 16 15 Elle lui dit Comment peux-tu dire Je t’aime! puisque ton coeur n’est pas avec moi? VoilĂ  trois fois que tu t’es jouĂ© de moi, et tu ne m’as pas dĂ©clarĂ© d’oĂč vient ta grande force. Juges 16 16 Comme elle Ă©tait chaque jour Ă  le tourmenter et Ă  l’importuner par ses instances, son Ăąme s’impatienta Ă  la mort, Juges 16 17 il lui ouvrit tout son coeur, et lui dit Le rasoir n’a point passĂ© sur ma tĂȘte, parce que je suis consacrĂ© Ă  Dieu dĂšs le ventre de ma mĂšre. Si j’étais rasĂ©, ma force m’abandonnerait, je deviendrais faible, et je serais comme tout autre homme. Juges 16 18 ¶ Delila, voyant qu’il lui avait ouvert tout son coeur, envoya appeler les princes des Philistins, et leur fit dire Montez cette fois, car il m’a ouvert tout son coeur. Et les princes des Philistins montĂšrent vers elle, et apportĂšrent l’argent dans leurs mains. Juges 16 19 Elle l’endormit sur ses genoux. Et ayant appelĂ© un homme, elle rasa les sept tresses de la tĂȘte de Samson, et commença ainsi Ă  le dompter. Il perdit sa force. Juges 16 20 Elle dit alors Les Philistins sont sur toi, Samson! Et il se rĂ©veilla de son sommeil, et dit Je m’en tirerai comme les autres fois, et je me dĂ©gagerai. Il ne savait pas que l’Eternel s’était retirĂ© de lui. Juges 16 21 Les Philistins le saisirent, et lui crevĂšrent les yeux; ils le firent descendre Ă  Gaza, et le liĂšrent avec des chaĂźnes d’airain. Il tournait la meule dans la prison. Juges 16 22 ¶ Cependant les cheveux de sa tĂȘte recommençaient Ă  croĂźtre, depuis qu’il avait Ă©tĂ© rasĂ©. Delila est le symbole de la femme Ă©trangĂšreĂ©trangĂšre Ă  Dieuet Samson l'homme juste. Si Samson perd sa force, c'est sa raison qui s'en va, il a perdu ses 7 qualitĂ© tresses = esprits du Juste. Il a rĂ©vĂ©lĂ© son secret Ă  Delila, l'image de la religion impie,qui s'est servie de cette faiblesse pour le livrer aux princes philistins rĂ©duisant ainsi Samson en esclavagetourner la meule dans la prison. Un troupeau de chĂšvre la femme sur la montagne de Sion en nombre. Ca 41 Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes, DerriĂšre ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chĂšvres, Suspendues aux flancs de la montagne de Galaad. Ca 65 DĂ©tourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chĂšvres, Suspendues aux flancs de Galaad. La femme sur la montagne est l'assemblĂ©e des justes qui ont fait l'ascension spirituelle sur la montagne de l'Eternel. Rien ne les relient visiblement entre eux le voile si ce n'est leur connaissance de l'Eternel. Ils grandissent, accrochĂ©s Ă  leur petit pays des Gentils. Ils se sont consacrĂ©s Ă  Dieu, ils resplendissent de vĂ©ritĂ© ensemble comme une chevelure sur les Ă©paules d'une femme ou comme un troupeau de chĂšvre sur la montagne de la connaissance. Les maux plus nombreux que les cheveux de la tĂȘte Ps 4012 40-13 Car des maux sans nombre m’environnent; Les chĂątiments de mes iniquitĂ©s m’atteignent, Et je ne puis en supporter la vue; Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tĂȘte, Et mon courage m’abandonne. Ps 694 69-5 Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tĂȘte, Ceux qui me haĂŻssent sans cause; Ils sont puissants, ceux qui veulent me perdre, Qui sont Ă  tort mes ennemis. Ce que je n’ai pas dĂ©robĂ©, il faut que je le restitue. Cheveux bouclĂ©s comme une alliance Ca 75 7-6 Ta tĂȘte est Ă©levĂ©e comme le Carmel, Et les cheveux de ta tĂȘte sont comme la pourpre; Un roi est enchaĂźnĂ© par des boucles!
 Esa 324 Au lieu de parfum, il y aura de l’infection; Au lieu de ceinture, une corde; Au lieu de cheveux bouclĂ©s, une tĂȘte chauve; Au lieu d’un large manteau, un sac Ă©troit; Une marque flĂ©trissante, au lieu de beautĂ©. Rappelez-vous lorsque vous avez les cheveux emmĂȘlĂ©s, il sont comme les boucles d'une chaĂźne, dont vous avez du mal Ă  enlever les nƓuds. Nous pouvons ĂȘtre attachĂ©s Ă  Dieu et jouir d'une libertĂ© naturelle comme les cheveux qui frisent naturellement. Une tĂȘte chauve n'a pas d'alliance avec l'Eternel, elle n'est pas consacrĂ©e. Ca 510 Mon bien-aimĂ© est blanc et vermeil; Il se distingue entre dix mille. Ca 511 Sa tĂȘte est de l’or pur; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le corbeau. Ca 512 Ses yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, Se baignant dans le lait, Reposant au sein de l’abondance. Ici les boucles sont libres, traduit par flottantes. Nos tĂȘtes en or sont des instruments de DieurĂ©fĂ©rence aux instruments en or de l'arche de l'alliance, en voie d'ĂȘtre purifiĂ©esde noires corbeau Ă  colombes. Contrairement Ă  rasĂ©es qui s'y oppose. Une tĂȘte chauve reprĂ©sente l’iniquitĂ©. Cheveux rasĂ©s No 65 Pendant tout le temps de son nazirĂ©at, le rasoir ne passera point sur sa tĂȘte; jusqu’à l’accomplissement des jours pour lesquels il s’est consacrĂ© Ă  l’Eternel, il sera saint, il laissera croĂźtre librement ses cheveux. No 618 Le nazirĂ©en rasera, Ă  l’entrĂ©e de la tente d’assignation, sa tĂȘte consacrĂ©e; il prendra les cheveux de sa tĂȘte consacrĂ©e, et il les mettra sur le feu qui est sous le sacrifice d’actions de grĂąces. Le nazirĂ©en aprĂšs son retrait et avoir laissĂ© ses idĂ©es poussĂ©esscience acquises, se met Ă  nuraser la tĂȘte en prĂ©sentant sa connaissance au mondeÉternel Ă  qui le veut bien. Les cheveux et la sagesse Job1510 Il y a parmi nous des cheveux blancs, des vieillards, Plus riches de jours que ton pĂšre. C'est le verset clĂ©. Les cheveux blanc sont celui du vieillards, qui a vĂ©cu, et a de l'expĂ©rience, symbole de la sagesse. 1Ro 152 Salomon dit S’il se montre un honnĂȘte homme, il ne tombera pas Ă  terre un de ses cheveux; mais s’il se trouve en lui de la mĂ©chancetĂ©, il mourra. 2Sa 1426 Lorsqu’il se rasait la tĂȘte, c’était chaque annĂ©e qu’il se la rasait, parce que sa chevelure lui pesait, le poids des cheveux de sa tĂȘte Ă©tait de deux cents sicles, poids du roi. Voici un roi qui se soulage de ses cheveux ou ses soucis, il se met Ă  nu en se rasant. Des cheveux comme la laine pure et de la neige Ap 114 Sa tĂȘte et ses cheveux Ă©taient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; ses yeux Ă©taient comme une flamme de feu; La vision de l'ange montre les caractĂ©ristiques de la sagesse pure et du dĂ©vouement flammeĂ  Dieu Da 79 Je regardai, pendant que l’on plaçait des trĂŽnes. Et l’ancien des jours s’assit. Son vĂȘtement Ă©tait blanc comme la neige, et les cheveux de sa tĂȘte Ă©taient comme de la laine pure; son trĂŽne Ă©tait comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent. Ps 14716 Il donne la neige comme de la laine, Il rĂ©pand la gelĂ©e blanche comme de la cendre; Esa 118 Venez et plaidons! dit l’Eternel. Si vos pĂ©chĂ©s sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; S’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Il s'agit de la purification de l'Ăąme, de ceux qui suivent le berger comme des moutonsla laine pure.Il acquiĂšrent la sagesse blanche comme la neige qui n'a aucune qu'ils suivent est le Christ. Hommes ou anges, montrer vos cheveux !! 1Co 111 ¶ Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-mĂȘme de Christ. 1Co 112 Je vous loue de ce que vous vous souvenez de moi Ă  tous Ă©gards, et de ce que vous retenez mes instructions telles que je vous les ai donnĂ©es. 1Co 113 Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. 1Co 114 Tout homme qui prie ou qui prophĂ©tise, la tĂȘte couverte, dĂ©shonore son chef. 1Co 115 Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophĂ©tise, la tĂȘte non voilĂ©e, dĂ©shonore son chef c’est comme si elle Ă©tait rasĂ©e. 1Co 116 Car si une femme n’est pas voilĂ©e, qu’elle se coupe aussi les cheveux. Or, s’il est honteux pour une femme d’avoir les cheveux coupĂ©s ou d’ĂȘtre rasĂ©e, qu’elle se voile. 1Co 117 L’homme ne doit pas se couvrir la tĂȘte, puisqu’il est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. 1Co 118 En effet, l’homme n’a pas Ă©tĂ© tirĂ© de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l’homme; 1Co 119 et l’homme n’a pas Ă©tĂ© créé Ă  cause de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l’homme. 1Co 1110 C’est pourquoi la femme, Ă  cause des anges, doit avoir sur la tĂȘte une marque de l’autoritĂ© dont elle dĂ©pend. 1Co 1111 Toutefois, dans le Seigneur, la femme n’est point sans l’homme, ni l’homme sans la femme. 1Co 1112 Car, de mĂȘme que la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l’homme, de mĂȘme l’homme existe par la femme, et tout vient de Dieu. 1Co 1113 Jugez-en vous-mĂȘmes est-il convenable qu’une femme prie Dieu sans ĂȘtre voilĂ©e? 1Co 1114 La nature elle-mĂȘme ne vous enseigne-t-elle pas que c’est une honte pour l’homme de porter de longs cheveux, 1Co 1115 mais que c’est une gloire pour la femme d’en porter, parce que la chevelure lui a Ă©tĂ© donnĂ©e comme voile? 1Co 1116 Si quelqu’un se plaĂźt Ă  contester, nous n’avons pas cette habitude, non plus que les Eglises de Dieu. Que croyez vous comprendre au pied de la lettre ? La femme est t-elle l'Ă©gale de l'homme ? L'homme doit montrer sa chevelure, prĂȘcher sa science et sa sagesse pour la partager, nous pouvons dire qu'il se met Ă  nu. Par contre la religionfemme et la parole se doit ĂȘtre voilĂ©e, pour trahir la volontĂ© des impies, pour sĂ©parer les boucs, des brebis parce ces derniers qui cherchent auront droit Ă  une laine pure comme la neige. Le jugement capillaire Mt 1027 Ce que je vous dis dans les tĂ©nĂšbres, dites-le en plein jour; et ce qui vous est dit Ă  l’oreille, prĂȘchez-le sur les toits. Mt 1028 Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’ñme; craignez plutĂŽt celui qui peut faire pĂ©rir l’ñme et le corps dans la gĂ©henne. Mt 1029 Ne vend-on pas deux passereaux pour un sou? Cependant, il n’en tombe pas un Ă  terre sans la volontĂ© de votre PĂšre. Mt 1030 Et mĂȘme les cheveux de votre tĂȘte sont tous comptĂ©s. Mt 1031 Ne craignez donc point vous valez plus que beaucoup de passereaux. Mt 1032 C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon PĂšre qui est dans les cieux; Mt 1033 mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon PĂšre qui est dans les cieux. Celui qui retourne sa veste dans les derniers temps, enverra son Ăąme Ă  nĂ©ant. Il s'agit aussi de ceux qui ont revĂȘtu le vĂȘtement du Christ pour apparence. Le manteau de poil pour mentir Si le cheveu est un attribut humain, le poil est un attribut de bĂȘte. La peau de bĂȘte est un accessoire vestimentaire pour dissimuler les dĂ©fauts humains, ou les apparences. 2Ti 31 ¶ Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. 2Ti 32 Car les hommes seront Ă©goĂŻstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphĂ©mateurs, rebelles Ă  leurs parents, ingrats, irrĂ©ligieux, 2Ti 33 insensibles, dĂ©loyaux, calomniateurs, intempĂ©rants, cruels, ennemis des gens de bien, 2Ti 34 traĂźtres, emportĂ©s, enflĂ©s d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, 2Ti 35 ayant l’apparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces hommes-lĂ . Livre de vie 24 Il est aussi Ă©crit que Jean avait une ceinture de cuir et un manteau de poils de chameau. Pourquoi une telle description vestimentaire ? La signification de ceci est donnĂ©e en Zacharie pĂšre spirituel de Jean, dans l’ancien testament, oĂč il est Ă©crit En ce jour-lĂ  aujourd’hui, les prophĂštes les dirigeants rougiront de leurs visions Quand ils prophĂ©tiseront sur l’avenir, Et ils ne se revĂȘtiront plus d’un manteau de poils pour mentir. Cela signifie qu’avec la vĂ©ritĂ© connue de tous aujourd’hui, vos dirigeants rougiront de leurs visions, parce qu’ils ne pourront plus se dissimuler sous des poils de bĂȘte pour mentir ; car il est certain que celui qui ment n’est point digne du nom d’homme mais du nom de bĂȘte seulement. 25 Pourquoi alors Jean avait-il un manteau de poils de chameau ? Parce que, dans sa retraite Ă  Patmos, il prĂ©senta le Fils au monde en se transportant au jour de sa venue aujourd’hui tout en laissant croire qu’il Ă©tait corporellement Ă  ses cĂŽtĂ©s. Il a agi ainsi pour prĂ©parer son chemin ; c’est-Ă -dire pour faire sortir devant lui les traĂźtres et les imposteurs qu’il surprendrait Ă  son arrivĂ©e. Et c’est ce qui se produit rĂ©ellement aujourd’hui comme vous le voyez, car j’arrive en pleine trahison. Vois lĂ  le symbole des cheveux qui vous relie Ă  dieu. Quand vous aurez multipliĂ© vos raisons de croire Ă  son royaume, vous aurez la force de Samson . Et lorsque vous serez tel un troupeau de chĂšvre sur les flancs des montagnes, votre force pourra faire mourir le vieux monde impie. Cetteaugmentation est le rĂ©sultat de l’application de la contrainte paritaire dans les dĂ©partements concernĂ©s par le scrutin de liste et des effets de la loi interdisant le cumul des mandats. Les Ă©lections lĂ©gislatives qui ont eu lieu en 2017 se sont aussi traduites par une forte progression de la paritĂ© avec 40 % de femmes dĂ©putĂ©es, contre 26 % en 2012.

French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Appui aux groupes vulnĂ©rables, en particulier les foyers oĂč la femme est chef de famille. Support for vulnerable groups, particularly female headed households. Fourniture d'une assistance de dernier recours aux handicapĂ©s et aux rapatriĂ©s vulnĂ©rables, en particulier les foyers oĂč la femme est chef de famille et les personnes ĂągĂ©es. Provision of safety-net support for handicapped, and vulnerable returnees, particularly female-headed households and the aged. Il existe Ă©galement une inĂ©galitĂ© entre les niveaux de revenu des mĂ©nages selon que l homme ou la femme est chef de famille. There is also disparity between income levels of male- and female-headed households. Catherine Birnie est emprisonnĂ©e Ă  la prison pour femme Bandyup, oĂč elle est la chef libraire. Catherine Birnie is imprisoned in Bandyup Women's Prison. No results found for this meaning. Results 15497340. Exact 2. Elapsed time 1535 ms. Documents Corporate solutions Conjugation Synonyms Grammar Check Help & about Word index 1-300, 301-600, 601-900Expression index 1-400, 401-800, 801-1200Phrase index 1-400, 401-800, 801-1200

Lehéros des Deux Mondes. Il est issu d'une famille noble et choisit de suivre, comme son pÚre (tué à la bataille de Minden en 1759), une carriÚre militaire. Orphelin à l'ùge de treize ans, il fait ses études au collÚge Louis le Grand. En 1774, à 16 ans, il épouse Marie Adrienne Francoise de Noailles, fille du duc d'Ayen, futur duc

Le pasteur du Centre missionnaire Philadelphie CMP, Ken Luamba, fait encore parler de lui sur les rĂ©seaux sociaux. Ce religieux a, dimanche 18 avril sur Twitter, renseignĂ© sur le effet, l’homme du CMP a portĂ© un message ciblĂ© concernant la vie conjugale. Ken Luamba a tentĂ© d’éclairer la lanterne au sujet de la position d’un ĂȘtre fĂ©minin au sein de la sociĂ©tĂ© et dans le foyer. L’égalitĂ© entre homme et femme dans la sociĂ©tĂ© ne veut pas dire Ă©galitĂ© entre Ă©poux et Ă©pouse dans le foyer. Dans la sociĂ©tĂ©, on est tous Ă©gaux, mais dans le foyer, l’homme est le chef de la femme », a tranchĂ© le pasteur titulaire du Centre missionnaire Philadelphie CMP.Cette dĂ©claration suscite des vives rĂ©actions. Le rĂ©vĂ©rend Ken Luamba fait l’objet des critiques acerbes sur internet. Et ce, aprĂšs avoir créé le buzz en fĂ©vrier dernier. Permettez-moi de vous partager une conviction personnelle, c’est Ă  prendre ou Ă  laisser. J’ai vu des jeunes gens vouloir demander la main Ă  une fille se prosterner. Écoutez, il y a des principes que Dieu a Ă©tablis depuis le commencement. Il a Ă©tabli l’homme comme le supĂ©rieur de la femme en termes de chef, c’est lui le leader », a-t-il BOMBALE

OFfz2. 299 29 278 102 190 2 8 331 85

l homme est le chef de la femme