unami m'envoie ceci : "Que les vieux indiens qui ont perdu leurs territoires de chasse quand les barrages ont été construits, soit, mais quand j'entends un indien qui passe son temps à jouer à des jeux vidéos chez lui à Pessamit me parler de droits traditionnels, fuck off. 135. 22. 186. Katia Bacon. @baconKatiaa · 20h. Voyons Reynald, lâche moi! 85. 5. 184. Katia Bacon.
Forum Futura-Sciences les forums de la science MATHEMATIQUES Mathématiques du supérieur Problème de maths difficile  Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 6 sur 6 06/01/2007, 14h48 1 jeronimo88 Problème de maths difficile - salut j'ai encore un problème en maths en fait je dois prouver par récurrence que Pn+1=1+n^2P'n-2xn+1Pn P'n+1=-n+2n+1Pn montrer que Pn a exactement n racine réelle indication récurrence double tableau de variation n sont des indices pour P et ' sont des dérivées merci pour votre aide - Les vérités d'aujourd'hui sont les erreurs de demain 06/01/2007, 14h52 2 tize Re Problème de maths difficile En espérant ne pas avoir dit trop de bêtises...Cordialement José 06/01/2007, 14h56 3 jeronimo88 Re Problème de maths difficile escuser moi il y a Po=1 P1=-2x Les vérités d'aujourd'hui sont les erreurs de demain 06/01/2007, 15h04 4 martini_bird Re Problème de maths difficile Salut, jeronimo88, inutile de multiposter un fil suffit ! J'ai supprimé les doublons. Pour la modération. Angle éternel, la terre et le ciel, pour bissectrice, le vent. » Garcia Lorca Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 06/01/2007, 15h06 5 martini_bird Re Problème de maths difficile Pn+1=1+n^2P'n-2xn+1Pn Sinon, c'est bien ça la relation de définition des polynômes ? Et le x, c'est un X ou un symbole de multiplication ? Cordialement. Angle éternel, la terre et le ciel, pour bissectrice, le vent. » Garcia Lorca 06/01/2007, 17h04 6 jeronimo88 Re Problème de maths difficile Les vérités d'aujourd'hui sont les erreurs de demain Sur le même sujet Discussions similaires Réponses 9 Dernier message 05/11/2011, 16h28 Réponses 15 Dernier message 24/04/2007, 19h32 Réponses 6 Dernier message 15/04/2005, 20h43 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 04h15.
Faceà un pervers narcissique donc, il faut être patient et tolérant. On doit aussi lui témoigner de la compassion et de l’attention. En outre, il faut reconnaître ses qualités et ses points forts. En revanche, il n’est pas question de l’agresser en lui disant ses 4 vérités. Il ne faut pas s’opposer à lui ou l’accuser au
Objectif Comprendre le lien entre la conscience et la connaissance de soi. Points clés La conscience permet la connaissance de soi car elle est certitude. Cependant, cette connaissance est subjective et conditionnée. L'inconscient a un rôle important dans la connaissance de soi, et s'en rendre compte nous rend plus lucide. La conscience est la faculté par laquelle l'homme est capable de penser ce qu'il vit et dès lors de se penser lui-même. On pourrait donc admettre que la conscience que l'on prend de soi-même équivaut à une connaissance de soi. Or, s'il ne fait pas de doute que la conscience permet de savoir que l'on est, il n'est pas assuré qu'elle favorise nécessairement la connaissance de ce que l'on est. Autrement dit, le fait d'être conscient de soi induit-il le fait de se connaître soi-même ? 1. La conscience rend possible la connaissance de soi a. Se connaître soi-même est le principe de toute sagesse Chacun aspire à savoir qui il est. Il semble que ce soit la condition essentielle pour mener une existence sensée et cohérente. En l'absence de cette connaissance, je cours le risque de m'égarer, d'entreprendre des projets ou de tenir des discours dans lesquels demain je ne me reconnaîtrai plus. Ne pas se connaître ou se faire des illusions sur soi conduit inévitablement à l'échec. b. La conscience est équivalente à la pensée C'est au XVIIe siècle, avec Descartes, que la conscience de soi est posée comme la terre natale de la vérité », et comprise comme certitude résistant au doute la certitude naît du doute. Descartes montre que par l'intermédiaire du doute, la conscience fait, en quelque sorte, l'expérience de la certitude de l'existence de soi Discours de la méthode, 1637. Descartes se propose de rejeter comme absolument faux, tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute, afin de voir s'il ne resterait point, après cela, quelque chose en ma créance, qui fût entièrement indubitable. [...] Mais aussitôt après, je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. » Autrement dit, pour que le doute soit possible, il faut nécessairement un sujet qui doute le doute suppose, en effet, la pensée, laquelle suppose à son tour un sujet pensant. Descartes parvient ainsi à une première vérité, à un premier fondement, le cogito », à partir duquel il va pouvoir établir les principes de sa philosophie. c. L'introspection comme outil de connaissance de soi Cela ne suffit pas à me faire connaître qui je suis mais seulement à savoir que je suis. Pourtant, la conscience est aussi perception de ce que je vis et de ce que cela suscite en moi, des pensées, des désirs, des émotions... Il suffirait donc que je m'observe moi-même pour pouvoir m'analyser et me comprendre. 2. La conscience ne favorise pas une connaissance de soi objective a. Les limites de l'introspection L'introspection n'est pas un instrument de connaissance de soi satisfaisant. En effet, il est toujours possible que lorsque j'interprète mes actes ou mes sentiments, je me trompe. Je peux voir du courage là où ne réside que de la vanité, ou bien de la générosité où ne se trouve que le souci de reconnaissance. b. Les illusions de l'amour-propre Cette absence d'objectivité lorsque je m'examine moi-même s'explique en partie par le fait que je suis à la fois juge et partie. Je me juge moi-même et dans cette situation l'amour-propre interfère. Comment dès lors acquérir suffisamment de distance pour me considérer comme je suis et non comme je souhaiterais être ? c. Le conditionnement social de la conscience De plus, Marx a montré que la conscience n'est pas pure » et première ou préexistante. Ce qui est premier et qui détermine notre conscience ce sont les conditions matérielles de notre existence. Dès lors, parvenir à la connaissance de soi ne repose pas sur la conscience de soi mais sur la mise au jour des rapports déterminés qui constituent notre être social. Ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. » Avant-propos à la Critique de l'économie politique 3. La découverte de l'inconscient rend possible l'émergence d'une conscience plus lucide a. La conscience est déterminée par l'inconscient Freud a été plus loin encore dans ce travail de destitution de la conscience comme instrument de connaissance de soi. Il a montré que la conscience est déterminée par le jeu de forces inconscientes qu'elle ignore. La psychanalyse, écrit Freud, peut dire au moi Il n'y a rien d'étranger qui se soit introduit en toi, c'est une part de ta propre vie psychique qui s'est soustraite à ta connaissance et à la maîtrise de ton vouloir. » Essais de psychanalyse appliquée, Une difficulté de la psychanalyse », 1917 b. La démarche de Freud nous donne les moyens de mieux nous connaître Il reste que même si le moi n'est plus maître dans sa propre maison », selon l'expression de Freud, le travail de celui-ci a contribué à porter à la conscience cet état de fait. Autrement dit, nous sommes conscients de subir les déterminations de notre inconscient. Cela ne suffit pas à délivrer une connaissance de soi, mais cela ouvre la voie à un travail sur soi sans cela impossible. c. La conscience réformée introduit à une connaissance de soi partielle mais lucide Nous devenons plus lucides sur nous-mêmes parce que nous parvenons à mettre à jour les déterminations qui pèsent sur nous, y compris sur notre conscience. Ce faisant, même si nous découvrons que la transparence à soi est impossible, nous parvenons à réformer notre conscience et à la libérer partiellement des illusions qu'elle nourrit. Là où le ça était, le je doit advenir », écrit Freud Wo Es war, soll Ich werden ». Autrement dit, il s'agit de permettre à un sujet lucide de se constituer à la place d'un être déterminé par des pulsions qui le gouvernent sans qu'il le sache. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours !
Étiquette: dire ses 4 vérités. Courrier des coeurs, Love etc. 7 commentaires. Courrier des cœurs, réponse à Morgane . 5 septembre 2009 26 juin 2012 Nina. Cette semaine, Morgane nous a 90% des individus sont vulnérables à la manipulation. Les 10% ne sont pas sensibles aux manipulateurs et ne sont pas non plus sensibles au stress des personnes vulnérables. 1ère étape - Manque de confiance en soi, - Sentiment de ne pas savoir communiquer, - Doutes sur ses capacités, compétences et qualités humaines, - Sentiment d'infériorité. 2ème étape - Troubles du sommeil - Difficulté respiratoire, - Maux de tête, - Maux de ventre, - Troubles cutanés exzéma, etc.. 3ème étape - Mélancolie et dépression
\n dire ses 4 vérités à un pn
Lantithèse (ou alliance d’idées) est une figure par laquelle on oppose très fortement deux termes ou deux ensembles de termes contraires. Cette figure de style oppose des idées. L’antithèse est aussi, selon le Gradus, un moyen de mettre en relief une idée principale en présentant une idée inverse que l’on écarte ou que l’on nie. Être l'enfant d'un parent pervers narcissique, c'est apprendre à ne pas vivre autrement qu'au travers de la destruction psychique organisée par le NOV. 2018 Lecture min. La famille Les membres de la famille sont le plus souvent isolés au sein du groupe, le mécanisme relationnel, étant de créer, pour le parent pervers un pouvoir, donc la doctrine pourrait être, "diviser pour mieux régner". Petites phrases qui blessent, humiliations... Créer de la méfiance en parlant à l'un de l'autre, créant des doutes et des conflits. Se plaignant sans arrêt de ses enfants, tenant des propos négatifs dès qu'il le peut, une personne qui sait créer la culpabilité chez chacun. Le parent pervers n'a pour seul objectif, que celui de rendre l'enfant docile, le rendre objet de sa volonté. L'enfant vit ce système relationnel comme intrusif, il arrive souvent du reste, que des troubles apparaissent, troubles alimentaires, agressivité, terreurs nocturnes, ou encore des maux de ventre, des allergies.... Ces comportements sont les symptômes d'une demande à être aimé, regardé comme existant, entendu. Il arrive que l'enfant devienne tyrannique, il ne faut pas se tromper alors, car il ne s'agit pas d'un comportement caractériel, mais ce sont les signes d'une révolte avec les moyens que l'enfant possède. L'enfant L'enfant se trouve, dans ce type de relation, dans un paradoxe constant au niveau de ses ressentis, il tente par tous les moyens de recevoir l'affection du parent maltraitant. Les messages qu'il reçoit du parent pervers, sont entendus comme une réalité, ces mots venant d'un parent ne peuvent être que vrais, et ce regard négatif sur lui même, peut entraîner de graves dégâts, dépression, un vide intérieur, la prise de drogue, d'alcool... des comportements visant sa propre destruction. L'enfant ne peut être spontané, il doit être vigilant à tout. Il ne fait pas oublier que pour un parent il est très facile de manipuler son enfant, car par définition, l'enfant aime ses parents de façon inconditionnelle, et il attend, veut être aimé par eux, donc il est logique qu'il trouve des excuse aux parents aimés, qu'il cherche comment les contenter. Dans cette relation l'enfant ne peut construire son identité, s'affirmer, il n'a aucune place, et son unique choix est d'être à l'image de ce que le parent pervers lui demande d'être. Il apprend très vite à ne pas demander, c'est bien trop dangereux ! Il n'a pas le droit d'exister, de prendre position, tout essai de prendre sa place sera sévèrement réprimé. Il n'existe aucun échange réel, le parent pervers a toujours raison ! Avoir un autre avis n'est pas acceptable, l'ordre posé par le "dictateur" ne peut être contesté. Il n'est pas rare de voir alors des enfants, comprenant le fonctionnement, essayer de faire ce qu'il faut pour ne pas être rejetés, et choisir de se réfugier dans le silence, ainsi aucun risque. Le parent victime Le parent victime est le plus souvent incapable de réagir étant lui-même dans la confusion, et la mise en place de sa propre protection, il est alors, le plus souvent, complice involontaire laissant l'enfant subir l'emprise du pervers. Il peut même être dans le déni total de l'agression constante, en la posant comme issue de l'imaginaire enfantin, ce qui lui permet inconsciemment de réduire son propre sentiment de culpabilité. Ce parent tient alors des discours, comme quoi l'enfant invente, qu'il exagère, ce qui a pour conséquence de créer encore plus de confusion chez l'enfant, et produit un doute chez l'enfant sur son propre regard vis à vis de la violence qu'il subit de la part du parent pervers. L'enfant est alors dans un univers familial totalement insécure, un espace qui ne laisse aucune place à son bon développement, il doit être en vigilance permanente pour se protéger en se justifiant de tout. Le parent pervers Le parent pervers, justifiera ses actes par des phrases comme "... c'est pour ton bien...", se targuant de faire tout cela pour l'intérêt de l'enfant, il met en avant les règles de l'éducation, mais il n'a pour seul objectif que celui de détruire l'enfant, en faire sa chose. La forme utilisée n'est pas remarquée par l'environnement, au yeux des "autres". Seul l'enfant sait intérieurement ce qu'il en est. Il ne peut se plaindre et doit donc intérioriser, de plus il entend sans cesse que tout cela, c'est pour son bien, il n'est pas rare alors qu'il soit désigné comme un enfant mal dans sa peau, responsable des difficultés de ses parents, décevant, il n'est pas comme le parent le souhaite, il est sans cesse dévalorisé, maladroit... triste conséquence de la dévalorisation, le doute et le manque de confiance prennent de plus en plus place. Le parent pervers aura toujours de bonnes explications pour se justifier, ses "attaques", sont l'expression du fait que l'existence de cet enfant le gêne, il n'accepte pas son existence qu'il estime pouvoir lui faire de l'ombre, il le juge sans cesse, inscrivant ainsi psychiquement le message à l'enfant, qu'il n'est qu'un bon à rien. Cette forme est la seule place que l'enfant se reconnait, alors il aura des comportements qui justifieront la maltraitance. Il n'a pour reconnaissance que du négatif, il sera donc négatif, résonnant ainsi au discours destructeur du parent pervers. Il déçoit, ses parents ont honte de lui, il se sent de plus en plus coupable, il n'est pas assez bien pour ses parents. Il ne peut trouver sa place, du reste on ne la lui donne pas ! Il n'a aucun retour de reconnaissance, il est orphelin d'un "parent" vivant qui ne sait rien de l'affect. Un parent physiquement présent, mais totalement détaché de toute manifestation chaleureuse nécessaire à l'équilibre de l'enfant. Il ment manipule, passe pour un bon parent aux yeux de l'entourage, un parfait comédien destructeur. Il ne présente son enfant qu'au travers de son propre narcissisme, "regardez comme je l'ai bien élevé...", il n'est que dans l'apparence, montrer aux yeux du monde un foyer parfait, sans autoriser le monde à venir chez lui... L'enfant n'est alors qu'un accessoire de l'histoire familiale racontée aux autres ! Ces mécanismes sont à l'origine de l'absence de tout lien sain, aucune individualité n'est possible, le droit d'exister n'est pas accordé ! Demander de l'information - L'enfant est témoin spectateur de l'organisation relationnelle organisée par le parent pervers à l'encontre du partenaire. Il peut également subir la violence du parent victime, qui ne peut l'exprimer auprès du pervers. Photos Shutterstock Les informations publiées sur ne se substituent en aucun cas à la relation entre le patient et son psychologue. ne fait l'apologie d'aucun traitement spécifique, produit commercial ou service. Ilne peut pas en rester là, il doit rétablir la vérité, SA vérité, c'est-à-dire ses mensonges. Là-dedans il ne pense nullement aux enfants qui auraient bien besoin de stabilité et de savoir où et quand ils vont aller chez papa ou rester chez eux avec maman. Le PN ne pense qu'à son bien-être à lui, pas à celui de ses enfants 1 / Il se présente comme l’âme sœur » tel un chevalier sur son cheval blanc, le pervers narcissique semble correspondre en tout point à l’idéal de sa victime. Il partage les mêmes valeurs, les mêmes objectifs de vie, la même philosophie, les mêmes goûts. Il est admiratif de tout ce que sa cible fait, il aime son intelligence, sa vivacité d’esprit, son ambition, son honnêteté et sa sincérité. Il semble serviable, généreux, digne de confiance. Mais tout ceci est en fait FAUX ! Juste après avoir vu l’engagement de sa victime dans la relation, le pervers narcissique tombe le masque et là, le chevalier blanc se métamorphose en un vilain crapaud. La victime se rend alors compte qu’elle a été bernée, exploitée, trompée. Bref, le pervers narcissique est une vraie fraude. La victime est tombée amoureuse de ses propres rêves, le prince charmant du début n’a jamais existé … 2 / Le double visage le pervers narcissique a deux visages. Un pour vous, la victime, et l’autre pour l’extérieur. La victime est la seule à voir le vrai visage du démon. La première fois qu’elle le voit, c’est quand le PN sent que le moment est venu de tomber le masque. La victime est amoureuse de lui, ou elle est suffisamment prise dans sa toile pour qu’il puisse relâcher la pression. Il passe d’un masque à l’autre à la vitesse de l’éclair, d’une minute à l’autre en fonction des circonstances. Il utilisera cette capacité de transformation pour faire passer sa victime pour folle par exemple. Etant donné qu’elle est la seule à connaître son mauvais côté, et qu’il passe pour un ange auprès des autres, personne ne croira la victime quand elle livrera sa vérité. 3 / Le mensonge pathologique toujours très convaincant et trompeur à souhait, le pervers narcissique est un menteur pathologique. Il créé des diversions, diffuse des demi-vérités, il bluffe ou encore menace sa victime quand elle le questionne. Il nie les évidences et se contredit lui-même. Il ment tout le temps, pour tout, même pour les plus petites choses. Il ment sur les émotions qu’il ressent il n’en ressent aucune en réalité, il ment sur l’amour qu’il ressent, sur ses regrets il n’en a aucun, jamais, sur le changement qu’il va opérer. Tout ce qu’il est n’est que mensonge. Ses personnalités sont des mensonges. C’est le mensonge incarné. 4 / Le partenaire le plus déloyal qui soit / le saboteur le pervers narcissique est d’accord avec tout ce que vous dites puis fait tout le contraire de ce qui était prévu. Qu’il s’agisse de mariage, d’accords pour la garde des enfants, d’un simple échange social, tout ce qui a été conclu sera balayé d’un revers de la main. Il retournera ensuite la situation contre vous en vous accusant d’être la personne malhonnête qui a brisé le contrat. Le pervers narcissique adore se faire passer pour la victime. 5 / La poudre aux yeux il grimpe les échelons de la société à coups de couteau dans le dos des personnes qui croisent son chemin et n’a aucune limite dans son ambition. Sa famille n’est qu’une belle vitrine de son succès. Le pervers narcissique aime la poudre aux yeux. Il est TOUJOURS intelligent, charismatique et très éloquent dans son domaine d’activité mais très souvent, il exagère ses compétences et ses références professionnelles. Il utilise la manipulation pour asseoir son pouvoir sur les autres d’une main de fer. Il exploite ses proies dans le seul but d’atteindre ses objectifs, qui varient en fonction des opportunités. Ce sont les autres qui portent le poids de ses échecs, qu’il s’agisse de ses amis ou de ses collègues. Le pervers narcissique est toujours paranoïaque et s’éclipse rapidement si jamais les choses tournent mal. Il n’assume JAMAIS les conséquences de ses actes et se contente de DISPARAÎTRE . 6 / La sexualité déviante le pervers narcissique est souvent un hyper-sexuel ou asexuel ou encore une alternance des deux. Sa sexualité présente presque toujours un côté déviant. Dû au climat incestuel dans lequel ils ont grandi et parce qu’ils n’ont aucune empathie, aucun respect des limites, d’une manière plus générale, les PN considèrent tout le monde comme une source de gratification narcissique potentielle quand ils sont dans une phase prédatrice. Étant donné qu’ils s’ennuient facilement ils sont des infidèles notoires, prennent des risques pas de protection etc. 7 / La victimisation permanente le PN blâme toujours les autres pour ses propres fautes. C’est un maître de l’identification projective. C’est lui qui est victime de sa victime. Tout ce qu’il lui fait subir est systématiquement inversé et reproché à la victime. 8 / La violence le plus souvent, la violence du PN est psychologique. Il humilie, blesse, dénigre, critique en permanence, ouvertement ou sans en avoir l’air. Tout est bon pour rabaisser sa victime et se ré-hausser à ses dépends. Le PN peut également passer à la violence physique, ce qui est la prise de contrôle ultime sur sa victime. Généralement, il en arrive là quand elle menace de le quitter ou qu’elle est trop proche de son horrible vérité. Sur le point d’être démasqué, le pervers narcissique doit faire monter la pression d’un cran. Une fois sûr que sa victime a compris qui il était et a l’intention de le dénoncer à leur entourage, le PN peut véritablement devenir imprévisible et se transformer en harceleur ou encore en meurtrier selon ce qu’il a à perdre. Cependant, ils évitent ce genre d’extrémités qui ne va pas dans le sens de leur masque social ». 9 / Le contrôle et la manipulation le PN dresse les uns contre les autres, il divise pour mieux régner. Il ne présente pas ses proies à ses suiveurs », c’est le roi du cloisonnement, pour que ses mensonges ne puissent pas être repérés. De même, il fera en sorte de ne pas réunir des victimes dans la même pièce. Il contrôle sa victime en se montrant maladivement jaloux et en l’isolant petit à petit de toutes ses connaissances. Il la met sous dépendance totale, y compris financièrement pour qu’elle devienne sa prisonnière. C’est un harceleur-né qui ira jusqu’à retourner la famille de sa victime contre elle pour être certain qu’elle ne voudra jamais le quitter. Il n’hésite pas à s’approprier les revenus de sa victime ou de ses victimes car le PN est un maniaque de l’argent, un autre moyen de contrôle d’autrui. 10 / La froideur émotionnelle et l’absence totale d’empathie les pervers narcissiques sont très froids émotionnellement, ils ne ressentent rien au niveau du cœur. Les émotions sont uniquement perçues d’un point de vue intellectuel et ne servent qu’à manipuler les cibles. Les PN sont incapables de se mettre à la place de leurs victimes. De fait, ils ne peuvent pas éprouver de remords, d’ailleurs ça ne leur traverse même pas l’esprit. Dans leur monde, ils sont les plus forts, leurs victimes sont des objets faibles qui méritent d’être exploités et abusés. Quand un pervers narcissique dit qu’il aime, c’est pour mieux préparer la suite la tromperie et la trahison de la victime pour ensuite se nourrir de sa détresse. 11 / La prise excessive de risques le pervers narcissique a un faible contrôle de ses pulsions. Il est donc amené à prendre des risques parfois avec sa vie, la vôtre, vos économies, etc. Il peut également exprimer cette prise de risque en ayant de multiples partenaires sexuels sans protection. Ceci doit être un signal d’alarme fort pour quitter la relation. Les pervers narcissiques sont totalement inconscients et irresponsables pas d’un point de vue légal. Ils ruinent leurs victimes sans le moindre remords. Ils vous mettront en danger sans sourciller. Il se peut également que cet aspect de leur personnalité vous soit caché mais il existe toujours. 12 / L’arrogance le PN aime exhiber ses jouets », à savoir sa femme, ses enfants, ses biens matériels, ses diplômes, son savoir, sa culture … bref tout ce qui peut lui permettre de se mettre en avant en société. Il ne cherche que l’admiration, l’attention, la flatterie, il en a un besoin compulsif. La seule raison d’exister de toutes les personnes qui l’entourent est le fait qu’elles le mettent en valeur. Quand elles ne remplissent plus leur rôle, elles sont jetées car ce sont des objets remplaçables. 13 / Le sadisme le pervers narcissique dans toute sa splendeur a besoin de la souffrance de sa victime pour expulser la sienne. Il ressent une vraie jouissance à la voir se démener pour faire fonctionner la relation, il adore la voir demander pardon alors que c’est elle qui a été blessée, il exulte de voir ses larmes, sa détresse. Son but ultime et non avoué est de la pousser au suicide ou à l’internement. Cela signerait sa toute-puissance, son droit de vie et de mort psychique sur elle. Les PN sont cruels, sans pitié. Quand ils reviennent après avoir abandonné une de leurs proies, c’est pour le plaisir de susciter son espoir puis de la décevoir de nouveau et ainsi de suite. 14 / Les colères soudaines on peut plus parler de crises de rage » que de colère. Elles sont totalement disproportionnées et interviennent quand le PN n’a pas sa dose d’attention, de contrôle et/ou de soumission. Ce qu’il recherche, c’est juste de l’attention, qu’elle soit positive ou négative, comme un enfant qui fait un caprice. S’il doit se montrer plus cruel, insulter sa victime ou l’intimider, il le fera. 15 / La séduction permanente la séduction est l’arme fatale des pervers narcissiques. Ce sont de beaux parleurs et ils sont souvent charmants. Cette séduction n’est jamais à double sens puisque le PN n’est jamais sous le charme de sa victime. Il a un objectif en tête et c’est pour cela qu’il aborde puis séduit et enfin dépouille la cible. Ceci, sans le moindre sentiment, le moindre état d’âme. La victime, elle, est totalement prise dans les filets de cet individu. Elle est comme hypnotisée et ne voit que du feu jusqu’à ce que le masque tombe. Le PN utilise la séduction tout au long de la relation pour empêcher la victime de partir tant qu’il en a besoin. Cette séduction est un venin à distillation lente mais sûre, qui met beaucoup de temps à être éliminé par l’organisme hôte. 16 / La paranoïa à force de berner tout le monde, les pervers narcissiques se constituent un solide réseau de victimes qui peuvent à un moment, vouloir se venger. A cause de cela, les PN sont toujours dans la paranoïa, ils pensent être enviés, jalousés, manipulés, etc. Tout ce qu’ils sont au fond d’eux est projeté sur les autres en négatif. Il y a certainement une part de vérité et il y a fort à parier qu’avec tous les cadavres disséminés sur leur chemin, tôt ou tard, leur paranoïa sera justifiée. Les PN ont également tendance à se montrer hautement suspicieux de leur partenaire, l’accusant d’être infidèle ou de leur vouloir du mal. Ils peuvent du coup, mettre fin brutalement à une relation ou se montrer dangereux en prévention d’une agression même fictive. 17 / L’usurpation de personnalité c’est une expression qui vient pour désigner la plus grande arnaque du pervers narcissique. Il s’accapare les qualités de sa victime, ses succès, tout ce qui fait d’elle une belle personne et lui transfuse de force ses propres défauts. Ainsi, la victime est transformée en marionnette, en personnage de bande dessinée dont le scénariste est le pervers narcissique. Psychiquement, la victime bascule dans une réalité alternative, celle du bourreau, dans laquelle elle est vidée de sa substance identitaire pour devenir un objet modelé par le pervers. 18 / La fausse dénonciation de la malveillance les pervers narcissiques adorent se faire passer pour les gardiens de l’ordre et de la morale ! Régulièrement, ils souligneront combien les autres sont mauvais, combien le monde est hostile et combien la victime a de la chance d’être tombée sur une personne avec des valeurs morales tellement marquées. Il s’agit d’un grossier mensonge totalement hypocrite, prononcé par le pire des personnages qui soit. Lui qui n’hésite pas à tromper, trahir, corrompre, abuser autrui se présente comme un saint. 19 / L’avertissement caché tous les PN, dès le début de la relation, envoient des messages codés à leurs victimes pour les avertir de ce qu’ils ont l’intention de faire. Il ne faut pas les ignorer, c’est le masque qui glisse. Il peut s’agir de phrases comme tu devrais te méfier de moi » ou encore je ne suis pas digne de confiance ». Eh bien, c’est la vérité. 20 / La fausse repentance je vais changer », je regrette », je t’aime, pardonne-moi », etc. Retour au point sur le mensonge pathologique ». Le pervers narcissique n’est jamais sincère et il ne se remet jamais en question. Donc, quand il sort de telles paroles, il ne faut rien croire. Ce ne sont que des mots creux visant à retenir la victime et à semer le doute dans son esprit. N’oublions pas que c’est un sadique qui adore créer de l’espoir pour mieux le descendre en flammes et briser les cœurs trop tendres. Source POSER UN GESTE D'AMOUR Une contribution volontaire aide véritablement à maintenir ce site ouvert et ainsi vous devenez un Gardien Passeurs en action. CLIQUEZ ICI POUR CONTRIBUERMerci Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre
\n dire ses 4 vérités à un pn
Toutevérité est-elle bonne à dire? I. La vérité n'est pas toujours bonne à dire car elle peut être nuisible. I.A. Elle est blessante pour celui qui l'entend.-> Références possibles : Platon, La République (allégorie de la caverne). Code de déontologie médicale. I.B. Elle est aussi blessante pour celui qui la dit.
Navigation rapide 1. Vous devez traiter les autres avec justice et équité. Vous ne devez pas agir en fonction de vos émotions et de vos préférences. 2. Traitez les défauts et la corruption révélée des autres correctement. Ne définissez pas et ne jugez pas les autres arbitrairement. 3. Vous ne devez pas surestimer les autres ni les sous-estimer. Apprenez des forces des autres et comblez vos propres carences. 4. Quand vous découvrez que les autres font des choses qui ne se conforment pas à vos propres idées, ne vous concentrez pas sur les autres. Vous devez plutôt vous reconnaître vous-même d’abord et mettre la vérité en pratique. Les relations interpersonnelles sont un casse-tête pour beaucoup de gens. C’est aussi un sujet qu’on aborde souvent dans une vie de chrétien. Le Seigneur Jésus veut que nous vivions en harmonie les uns avec les autres et que nous aimions les autres comme nous nous aimons nous-mêmes. De nombreux chrétiens pieux sont aussi prêts à mettre en pratique les enseignements du Seigneur. Cependant, en réalité, lorsque nous interagissons avec les autres, nous nous heurtons fréquemment à des conflits et des malentendus, à tel point que nos relations deviennent rigides et se défont. Cela engendre de la souffrance chez tout le monde. Mais pour quelle raison ne pouvons-nous pas vivre en harmonie les uns avec les autres ? Comment devons-nous, nous les chrétiens, interagir avec les autres dans notre vie conformément aux intentions du Seigneur ? C’est un problème avec lequel j’ai moi aussi eu des difficultés dans le passé. Merci au Seigneur de m’avoir guidée ! J’ai pu ensuite trouver la réponse dans un livre qui a résolu mes difficultés. Je vais maintenant partager une partie de mon expérience et de mon interprétation ! 1. Vous devez traiter les autres avec justice et équité. Vous ne devez pas agir en fonction de vos émotions et de vos préférences. Jésus a dit Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains aussi n’agissent-ils pas de même ? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens aussi n’agissent-ils pas de même ? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait » Matthieu 546–48. Grâce aux paroles du Seigneur, j’ai compris que Dieu exige des chrétiens qu’ils traitent les autres conformément aux paroles de Dieu dans leur vie. Ils ne doivent pas le faire conformément à leurs émotions et leurs préférences propres. Lorsque je réfléchis à la façon dont nous interagissons avec les autres, je m’aperçois que, lorsque nous obtenons des avantages ou de l’aide grâce aux autres, nous sommes heureux et reconnaissants envers eux. Cependant, lorsque les autres disent ou font des choses qui nous nuisent, nous éprouvons de la répugnance envers l’autre personne et nous ne lui accordons plus notre attention. Lorsque nous rencontrons quelqu’un que nous aimons, nous nous rapprochons de lui et l’enrôlons ; lorsque nous rencontrons quelqu’un que nous n’aimons pas, nous le rejetons et nous tenons éloignés de lui. Celui qui jouit d’un statut élevé ou d’un grand pouvoir, nous le flattons et essayons de nous faire bien voir de lui. Celui qui ne jouit pas d’un statut élevé ni d’un grand pouvoir, nous le rejetons et le dénigrons. Si des gens pour qui nous avons une préférence soulignent nos imperfections, nous pouvons l’accepter. Si des gens pour qui nous n’avons pas de préférence font quelque chose de similaire, nous ne l’acceptons pas, nous nous justifions et, parfois, nous éprouvons même du dégoût pour eux, nous entrons en conflit avec eux et, même, nous les attaquons. Tous ces exemples sont des cas où l’on suit ses propres émotions et préférences et où l’on ne traite pas les autres avec équité. C’est aussi la méthode avec laquelle les non-croyants traitent les autres. Si un chrétien traite les autres de cette façon, il emprunte alors le même chemin qu’un non-croyant, il ne mérite pas d’être appelé un fidèle du Seigneur et ce qu’il fait n’est pas conforme aux intentions de Dieu. En tant que fidèles du Seigneur, nous devons mettre Ses enseignements en pratique. Nous devons aimer les autres comme nous nous aimons nous-mêmes. Si l’humanité d’une personne est bonne, qu’elle croit authentiquement en Dieu et qu’elle aime la vérité, peu importe si elle est compatible avec nos préférences, notre tempérament ou notre caractère, peu importe si elle est quelqu’un que nous aimons et si elle est un frère ou une sœur ordinaire ou un dirigeant d’Église, nous devons la traiter avec sincérité et impartialité. Nous devons lui montrer de la tolérance, de la patience et de l’amour. Nous ne devons ni duper ni discriminer. Ce n’est qu’en agissant ainsi que nous serons conformes aux intentions de Dieu. 2. Traitez les défauts et la corruption révélée des autres correctement. Ne définissez pas et ne jugez pas les autres arbitrairement. Jésus a dit Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l’on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez » Matthieu 71–2. Les enseignements du Seigneur m’ont aidée à comprendre que nous sommes tous des gens qui avons été corrompus par Satan. Notre tempérament corrompu est le même chez tout le monde. Si les autres révèlent un tempérament satanique arrogant, suffisant, égoïste et méprisable, nous pouvons nous aussi révéler le même tempérament. Nous avons les mêmes défauts que les autres. Nous ne sommes pas meilleurs que les autres. Si nous jugeons et définissons les autres à cause de leurs défauts et de leur corruption, alors nous faisons preuve d’une vraie arrogance et d’une trop faible connaissance de nous-mêmes ! Donc, peu importe quelle corruption et quelles transgressions les autres révèlent, nous devons les traiter correctement et nous ne devons pas les juger et les définir arbitrairement. Souvenez-vous de l’attitude qu’a eue Jésus lorsqu’Il a traité les pécheurs comme on peut le lire dans la Bible les pharisiens ont attrapé une femme qui avait commis l’adultère et l’ont conduite devant Jésus. Ils ont demandé à Jésus de quelle façon il fallait traiter cette femme. Selon les lois de l’époque, cette femme aurait dû être lapidée. Cependant, Jésus ne l’a pas condamnée pour ses péchés. Tout ce qu’Il a fait, c’est de lui dire de ne plus commettre de péchés à l’avenir. Voir Jean 8, 3–11. D’après ce passage, nous voyons que Jésus comprenait la souffrance et l’impuissance que ressentent les gens qui ont été corrompus par Satan et qui vivent dans le péché. Il éprouvait de la compassion pour la faiblesse de l’homme. Lorsque nous révélons notre corruption ou commettons des transgressions, si nous nous repentons authentiquement, Dieu nous donnera assez de temps pour nous repentir et changer. Nous devons aussi suivre l’exemple de Jésus et traiter correctement les défauts et la corruption révélée des autres. Nous devons regarder les autres à travers une perspective de développement. C’est aussi un principe que les chrétiens doivent appliquer dans leur vie lorsqu’ils ont affaire aux autres. Si nous imposons aux autres des exigences strictes, que nous cherchons la petite bête chez eux et que nous les jugeons même arbitrairement, si nous définissons les gens et concluons qu’ils sont nuls lorsque nous découvrons leurs défauts, nous faisons alors preuve d’un tempérament corrompu, arrogant et suffisant dans notre manière de traiter les autres. Si vous agissez ainsi, vous ne vous conformerez pas aux intentions de Dieu et vous n’aurez absolument pas de relations normales avec les autres. Laissez-moi partager une partie de mon expérience avec vous tous. Au sein de notre Église, il y a une sœur qui ne peut pas arriver aux réunions à l’heure à cause de son mari qui est un non-croyant. J’avais parlé à cette sœur à de nombreuses reprises, mais elle vivait encore dans la négativité et la faiblesse. Cela me mettait très en colère et, donc, je la définissais comme quelqu’un qui ne croyait pas authentiquement en Dieu. Je ne voulais plus l’aider ni la soutenir. Ensuite, j’ai lu ce passage de la Bible Que celui qui mange ne méprise point celui qui ne mange pas, et que celui qui ne mange pas ne juge point celui qui mange, car Dieu l’a accueilli. Qui es-tu, toi qui juges un serviteur d’autrui ? S’il se tient debout, ou s’il tombe, cela regarde son maître. Mais il se tiendra debout, car le Seigneur a le pouvoir de l’affermir » Romains 143–4. J’ai éprouvé une grande honte. J’ai repensé aux fois où je m’étais sentie vaincue, négative et faible. Dieu affectait mes frères et sœurs émotionnellement pour qu’ils viennent me lire les paroles de Dieu à de nombreuses reprises. Ils communiquaient leurs expériences et les partageaient avec moi pour m’aider et me soutenir. Je ne pouvais tenir bon que grâce aux paroles de Dieu qui me guidaient. Je n’avais moi-même rien dont je pouvais me vanter. Or, cette sœur ne pouvait pas arriver aux réunions à l’heure parce que son mari l’en empêchait. J’aurais dû l’aider avec un cœur aimant et, pourtant, je ne m’inquiétais pas pour la vie de cette sœur. Je l’évitais même et la définissais comme quelqu’un qui ne croyait pas authentiquement en Dieu. Lorsque je me suis examinée moi-même, j’ai senti que j’étais très arrogante. Je ne traitais pas du tout cette sœur avec un cœur aimant ni avec patience. Je n’avais rien fait de conforme aux intentions de Dieu. Lorsque j’ai compris cela, j’ai confessé mes péchés devant Dieu et me suis repentie j’étais prête à continuer à aider et à soutenir cette sœur. Après, j’ai communiqué les paroles de Dieu à cette sœur avec un cœur aimant et j’ai partagé avec elle une partie de mon expérience et de mon interprétation personnelles. Après que nous avons communiqué à quelques reprises, elle n’a plus été soumise au contrôle de son mari et ses conditions se sont peu à peu améliorées. Ce que j’ai appris de cette expérience, c’est que, quels que soient les défauts et les faiblesses qu’a un frère ou une sœur, ou, quelle que soit la corruption qu’il ou elle révèle, tant qu’il ou elle croit authentiquement en Dieu et peut se repentir devant Dieu lorsqu’il ou elle commet une faute, Dieu lui donnera une occasion de changer. C’est la raison pour laquelle nous devons aussi aider les autres avec un cœur aimant, pardonner aux autres et traiter toute personne conformément aux exigences de Dieu. Nous ne devons absolument pas définir et juger les autres arbitrairement. Voilà comment on traite les gens avec équité et conformément aux intentions de Dieu. 3. Vous ne devez pas surestimer les autres ni les sous-estimer. Apprenez des forces des autres et comblez vos propres carences. La Bible dit Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes » Philippiens 23. Dieu a donné à chacun de nous un calibre, des talents et des forces qui diffèrent. Pour cette raison, nous devrions tous avoir le cœur humble lorsque nous interagissons avec nos frères et sœurs et nous devrions traiter les points forts et les points faibles des autres correctement. Nous ne devons pas surestimer ni sous-estimer les autres. Nous devons utiliser les forces des autres pour pouvoir corriger nos propres défauts. Si, à cause de nos forces, calibre et talent propres, nous finissons par prendre les autres de haut et magnifier nos propres forces à l’infini, pour frimer et nous vanter, et aussi juger les autres, les dénigrer et leur nuire, nous nous laissons alors dominer par notre nature corrompue, arrogante et suffisante. Ce n’est pas de cette façon qu’un chrétien doit vivre. Par exemple, avant, je considérais toujours que mon propre calibre était meilleur que celui d’une sœur avec laquelle je travaillais et, donc, je la prenais de haut. Lorsque nous travaillions ensemble, je frimais volontairement et involontairement et, dans mon cœur, j’étais toute fière de moi-même. Mon tempérament corrompu avait conduit Dieu à me détester et à me cacher Son visage. Mon esprit devenait sombre et déprimé. Il y avait beaucoup de problèmes évidents dans mon travail que je ne parvenais pas à résoudre, tandis que le travail de la sœur devenait peu à peu meilleur. J’ai pensé à ce que Jésus avait dit Quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé » Matthieu 2312. C’est à ce moment-là que j’ai vu à quel point j’étais arrogante. Je n’étais pas consciente de moi-même. À vrai dire, c’était grâce à l’œuvre du Saint-Esprit que mon travail produisait des résultats ou que j’étais capable de découvrir certains problèmes. Pourtant, j’avais quand même volé l’honneur de Dieu, j’étais immensément autosatisfait et j’admirais mon propre ego. Je prenais mes frères et mes sœurs de haut. En réalité, j’étais juste très irrationnelle ! Dans le même temps, j’étais consciente d’avoir besoin d’apprendre à me défaire de moi-même. Je devais, avec ouverture d’esprit, utiliser les forces de la sœur pour combler mes propres carences. C’était le seul moyen de contenter Dieu et de permettre à ma propre vie de progresser continûment. Du coup, je me suis mise à le faire. Quand il y avait des problèmes que je ne comprenais pas, je demandais des conseils à la sœur. Lorsque je rencontrais des difficultés, j’en discutais avec elle. C’est à ce moment-là que j’ai découvert qu’en fait elle avait beaucoup de forces dont je manquais. Mon cœur s’est senti très humilié. J’ai aussi compris que Dieu avait fait en sorte que je travaille avec cette sœur parce qu’Il voulait que je corrige mes défauts. Il voulait que nous coopérions harmonieusement pour accomplir le travail qu’Il nous avait confié. Peu à peu, mes relations avec la sœur sont devenues normales et j’ai reçu à nouveau l’œuvre du Saint-Esprit. 4. Quand vous découvrez que les autres font des choses qui ne se conforment pas à vos propres idées, ne vous concentrez pas sur les autres. Vous devez plutôt vous reconnaître vous-même d’abord et mettre la vérité en pratique. Jésus a dit Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’oeil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton oeil ? Ou comment peux-tu dire à ton frère Laisse-moi ôter une paille de ton oeil, toi qui as une poutre dans le tien ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton oeil, et alors tu verras comment ôter la paille de l’oeil de ton frère » Matthieu 73–5. Lorsque nous interagissons avec les autres, il est inévitable qu’il y ait des frictions et des préjugés. Dans ces moments-là, nous ne devons pas nous concentrer aveuglément sur ce que les autres font de mal et toujours croire que c’est la faute des autres. Nous devons plutôt apprendre à nous présenter devant Dieu et à chercher la vérité dans la parole de Dieu pour pouvoir découvrir où résident nos propres problèmes. Lorsque nous comprendrons les intentions de Dieu et notre propre tempérament corrompu, nous pourrons nous mettre à la place des autres et voir les choses depuis leur perspective. Nous pourrons comprendre les autres, compatir avec eux et être tolérants. À partir de ce moment-là, les préjugés que nous avons pour les autres se résorberont spontanément et radicalement. J’ai eu des expériences profondes concernant cet aspect. Je me souviens d’une des sœurs avec lesquelles je travaillais et qui avait souligné à de nombreuses reprises que je n’avais pas assumé ma part de responsabilité en termes de travail d’Église. Cependant, non seulement je ne pouvais pas recevoir la chose de Dieu, mais, en fait, je suspectais même cette sœur de délibérément me chercher la petite bête et de me rendre la vie difficile. Mon cœur a commencé à engendrer des préjugés à l’encontre de cette sœur et je ne voulais plus servir à ses côtés. Après avoir lu la parole de Dieu et cherché les intentions de Dieu, j’ai compris que mon propre tempérament satanique, arrogant et suffisant me dominait et ne me permettait pas d’accepter les suggestions de cette sœur. Cela me rendait même soupçonneuse à son sujet. Cela m’a amenée à ne pas pouvoir avoir des interactions normales avec cette sœur. Dans le même temps, je savais que les gens, les événements et les choses que je rencontrais tous les jours étaient tous dictés et organisés par Dieu. C’était Dieu qui organisait méticuleusement ces choses pour me changer et me sauver, et non la sœur qui voulait délibérément me rendre les choses difficiles. Je devais me soumettre à Dieu, apprendre à me défaire de moi-même et accepter ses suggestions correctes. Après, je me suis présentée devant Dieu et ai réfléchi sur moi-même. Grâce aux suggestions de la sœur, je voyais qu’en effet je n’assumais pas ma part de responsabilité en termes de travail d’Église. Je faisais tout ce que le dirigeant me demandait de faire et, pourtant, je ne pensais jamais à la façon dont je pouvais mieux faire mon travail d’Église. Lorsque j’ai compris les intentions de Dieu, je me suis mise à faire les choses conformément aux requêtes de Dieu. J’ai pris la libre initiative de révéler ma corruption à cette sœur et j’ai même demandé à Dieu de me donner encore plus de responsabilités. Lorsque je rencontrais des situations, je pensais davantage à la façon dont je pouvais être utile à l’Église. À force de mettre les choses en pratique de cette façon, les malentendus que j’avais auparavant avec cette sœur ont disparu. Nous avons établi un lien spirituel et l’harmonie dont nous jouissions auparavant est revenue. Les quatre principes de la pratique sont des choses que j’ai apprises grâce à mes expériences. J’ai vraiment fait l’expérience d’avoir été guidée par la parole de Dieu dans une vie chrétienne. Elle est la boussole qui nous montre le chemin. Si nous n’avions pas la parole de Dieu pour nous guider, nous n’aurions pas de chemin à suivre. Tout ce que nous avons à faire, c’est de mettre les enseignements de Dieu en pratique et de traiter tout le monde avec équité. C’est le seul moyen de pouvoir vivre la ressemblance d’un être humain réel, de coexister harmonieusement avec les autres, d’en faire profiter ceux qui nous entourent et de faire en sorte que Dieu soit satisfait et nous loue. Merci, Dieu, de m’avoir guidée. Gloire à Dieu ! À découvrir Témoignage chrétien Comment améliorer les relations interpersonnelles
APGQN. 308 88 176 333 4 301 131 96 284

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